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Les épiceries Bernayennes arrêt sur images (dernière partie)...

Par Unevillemaville2
Suite est fin de mon article précédent sur ma visions des petites épiceries local de quartiers (excentrer et du centre ville).
Donc oui, on n'ouvre pas une épicerie comme ça sur un claquement de doigts, non, il faut un minimum de connaissances, de réflexions et d'analyse.
ils faut trois points essentielles : 
1 - Psychologie de l'accueil.
2 - Psychologie du placement des produits dans les rayons.
3 - Psychologie et analyses rapides devant un client.
Quelque part devancer son ou s'est besoins (vitaux ou futile).
Oui, devancer ce qui pourrait l'intéresser, voir ce qu'il vient acheter régulièrement (d’où le grand intérêt des cartes de fidélités qui enferme tout cela), etc., etc.
Par exemple près de 80% des ventes dans les épiceries sont de la vente spontanée.
Les épiceries Bernayennes arrêt sur images (dernière partie)... "On estime qu’une personne va à l’épicerie ou au supermarché de 1,7 à 2,4 fois par semaine."(1).
Voici par exemple une astuce intéresse (pas mis en œuvre chez l'un des deux commerçants du quartier, mais bons à savoir :
"Les étalages situés à l’entrée de l’épicerie contiennent souvent des pains frais et autres produits de boulangerie «Pour que leurs odeurs nous mettent en appétits»." (2).
Après, les agences de marketings, les sociologues du commerce déterminent six grands axes d'études de nos comportements dès le premier pas dans ses magasins là (3).
1 - Densité de passage.
2 - Circuits types.
3 - Indice d'arrêt - 1.
4 - Indice d'arrêt - 2.
5 - Indice d'achat.
Et enfin,
6 - Indice d'attractivité.
Etc., etc.
Moi, chez l'un ou chez l'autre, bah oui quoi, comme la plupart des habitants du quartier je vais faire mes courses chez les deux (rire).
J'y vais donc avec en tête des besoins précis et n'en dérogent pas.
Les deux proposent la livraison gratuite à domicile (mais un petit pourboire de 1 ou 2 euros et donner de votre propre chef fait toujours plaisir à celui qui vous livre).
L'un livre à partir de 50 - 100 euros quand l'autre le fait à partir de 20 euros.
Pour l'un, Mr Guedjad (venant du Maroc), le commerce s'est de famille "Et oui" me dira-t-il avec son accent ensoleillé.
En effet, les fils, les sœurs, etc., tiennent et/ou on tenue des échoppes (pour la plupart des épiceries) en France ou au "bled" comme on dit là-bas.
Pour celui-ci (notre ami marocain) outre le père assis à la caisse (rire) on voit régulièrement s'est deux fils âgés d'environ 18 - 20 ans gèrent la boutique comme il se doit.
Parfois aussi on peut y voir la petite dernière (une dizaine d'années) venir jouer les caissières d'un jour on la voit sautillé à la corde, faire de la trottinette dans les allées du magasin.
Puis elle pose sa corde là et vient derrière la caisse paternelle et donc, la demoiselle encaisse l'argent, vous rend la monnaie et discute le coup avec vous.
Ce qui et alors trop rigolo je trouve.
En fait, on semble tellement séduit par l'idée de "Jouer à la petite marchande" que nous en excuserions presque (si elle en faisait) des erreurs de caisses qui peuvent varient de 05 à 20 centimes d'euros (rire).
L'un des deux fils, aider par la fratrie, a d'ailleurs rachetais l'épicerie qui est située sur le quartier du Bour Le Compte,
Les épiceries Bernayennes arrêt sur images (dernière partie)... Ainsi, ils varient leurs présences ici ou là.
Quand l'autre (Hervé Dufour) lui, il a fait ses armes dans l'une des grandes enseignes situées en centre-ville (près de l'église st croix) manutentionnaire - caissier et s'ajoute à cela gèrent d'une franchise nationale.
Dans se supermarché il ranger les rayons et tenais la caisse, j'avais trouvait alors cela fort sympathique qu'un homme face un métier de femme qui n'est pas évidente, bah oui quoi "Caissier" pour un homme pfut vous comprenez rien vous ou quoi (rire).
Alors, dans le fond de la chose, ils vendent tous les deux des choses identiques et différentes.
Tous deux sont aimables et savent être souples avec leurs clients, et à l'écoute aussi.
(1) Comme Jordan Le Bel le professeur de marketing à l’École de gestion de l’Université Concordia l'indique.
(2) Idem petit (1).
(3) D'après une étude réalisée par Amaury Beautru.
Photographie : "Les deux patrons des épiceries du quartier du stade" / ainsi que "Les deux épicerie dont je parle dans mon article (rue maréchal Leclerc et quartier Bourg le compte)" par le citadin mai - juin 2011©®.
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