Magazine Cinéma

Dark Mirror

Publié le 15 décembre 2011 par Olivier Walmacq

darkmirror_aff

genre: épouvante, horreur (interdit aux - 12 ans)
année: 2010
durée: 1h30

l'histoire: Une photographe emménage dans une ancienne maison. Rapidement, elle découvre que dans la maison, le reflet des miroirs revoit une image altérée de la réalité.

La critique d'Alice In Oliver:

Ce n'est plus une surprise: depuis quelques années, Hollywood s'évertue à "remaker" les plus grands films d'horreur de ces 40 dernières années
Que ce soient les classiques du genre (Amityville La Maison du Diable, la Malédiction, Massacre à la Tronçonneuse) voire même certaines références un peu obscur (Par exemple, La Maison de Cire est un remake de Steel Trap).
Par contre, personne n'aurait imaginé que le film Mirrors, d'Alexandre Aja, déjà pas fameux, aurait pu laisser derrière lui quelques traces indélébiles dans l'esprit de certains. C'est pourtant le cas de ce film espagnol, réalisé par Pablo Proenza, qui vient presque emprunter le même nom.

Ce qui donne Dark Mirror. Certes, ce n'est pas un remake, encore moins un film produit par Hollywood, mais Dark Mirror vient renifler du côté des Etats-Unis, en proposant peu ou prou le même scénario.
Pas de panique ! Vous avez détesté Mirrors ? Donc, vous détesterez également Dark Mirror.
Vous faites partie de ceux qui ont aimé le film d'horreur d'Alexandre Aja (soient 8 personnes en France...) ? Alors, il n'est pas forcément évident que vous aimiez le film de Pablo Proenza. Comme je l'ai déjà souligné,à la base, Mirrors n'avait rien de sensationnel (oh non !).
Mais devant cette pâle copie, on finirait presque (je dis bien presque...) par regretter le film d'Alexandre Aja.

Ici, le film d'épouvante met à l'épreuve une mère de famille, une photographe qui voit mystérieusement disparaître les personnes capturées par son appareil.
Autre élément important: elle vient d'emménager dans une vieille demeure et les miroirs semblent déformer la réalité extérieure.
Très vite, son mari la prend pour une folle, et leur mioche a un comportement de plus en plus étrange.

Pourtant, il ne se passe pas grand chose et il faudra attendre la dernière demie heure pour voir un peu d'action et de tension.
Le cinéma horrifique espagnol contient également quelques purges. Et Dark Mirror en fait partie.

Note: 04/20
Note naveteuse: 14.5/20


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Olivier Walmacq 11545 partages Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazines