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Turn 30, wake up thirsty

Publié le 12 février 2008 par Absnoise
Niccokick

Niccokick - The Poet (video)
Références musicales : The Killers, The Bravery, Nirvana
Niccokick - The Poet (mp3) [download]
Preamble : It was Saturday. I was in the Parisian subway with some angel wings on my back, cause I came back from a costume party. It was about 2am. There was this girl who was talking in Swedish, at least that's what I tought (I wil learn later that she was actually from Norway) and then she saw my wings and smiled to me. I smiled back (I'm a polite guy). I wanted to explain that I took that wings cause of the Niccokick's Turn27 video but this is not the kind of thing you explain at 2am to a pretty Norvegian girl especially when you're chatting with her for the first time of your life. And then, a Swedish girl friend of mine called me on my phone and the Norvegian girl left the subway (:-(). When I told my Swedish friend the story about my wings, she said Niccokick were "a joke".
Awake from the dead, my dear best friend, the first Niccokick album was not a joke to me (remember this and that?). I was actually very impressed by their Turn 27 and Run run run EPs. I saw them live twice at this time. I was a huge fan. The record was good, powerful and fun. Like a pop version of Nirvana.
I received today The Good Days We Shared, Were They So Bad, the second Niccokick album. I have to listen to it a bit more. First impressions : I prefer the first record. I'm a bit disappointed that the band evolved into a more pop way on this one. From a pop Nirvana they turnt into a grunge Shins. And that is not the same. I would have preferred more shouts, more "turn27, wake up in heaven", more "give me sex! give me drug! give me rock n' roll!". More fun rock n' roll clichés. A bit like in their new single, The Poet. That is a good typical Niccokick song. It does rock. Much more than the rest of the record.
Pour mes compatriotes français
Préambule : c'était samedi. Je me trouvais dans le métro parisien avec des ailes d'ange sur le dos parce que je revenais d'une soirée costumée. Il était environ 2 heures du matin. Il y avait cette fille qui parlait en suédois (en fait elle était Norvégienne, mais je ne le saurais que plus tard) et qui me sourit lorsqu'elle apperçut mes ailes. Je lui souris également (je suis un garçon poli). J'aurais voulu lui expliquer que j'avais mis ces ailes en hommage au clip de Turn 27 de Niccokick, mais ce n'est pas le genre de choses que vous racontez à deux heures du matin à une fille que vous rencontrez pour la première fois de votre vie. Et puis, une copine suédois m'appelle sur mon portable et la Norvégienne arrive à son arrêt (:-(). J'ai raconté l'histoire de mes ailes à ma copine suédoise. Elle m'a dit que Niccokick c'était une vaste blague.
Awake from the dead, my dear best friend, le premier album de Niccokick, n'était pas une vaste blague pour moi (vous vous souvenez de ça et ça?). J'étais même franchement impressionné par leurs EPs Turn 27 et Run run run. Je les avais vu deux fois en live. J'étais un gros fan. Leur disque était bon, puissant et fun. Un peu comme du Nirvana en plus pop.
J'ai reçu aujourd'hui The Good Days We Shared, Were They So Bad, le deuxième album de Niccokick. Je dois l'écouter davantage. Premières impressions : je préfère le premier disque. Je suis un peu déçu que le groupe ait pris une tangente plus pop. De Nirvana pop ils ont évolué en Shins grunge. Et ce n'est pas tout à fait pareil. J'aurais souhaité davantage de cris, de "turn27! wake up in heaven!", de "give me sex! give me drug! give me rock n' roll!". Davantage de clichés rock n' roll. Un peu comme sur The Poet, leur nouveau single Voilà une vraie chanson façon Niccokick. Du pop/rock qui déménage. Une réussite, clairement un cran au-dessus du reste du disque.

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