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Candy Flesh

Publié le 08 janvier 2012 par Lordsofrock @LORDS_OF_ROCK

ROCK - Bref, aujourd’hui j’ai fait une chronique

candy2bfle Candy Flesh
Bref, l’autre jour j’étais chez Anthony (c’est le rédacteur en chef de Lords Of Rock) et il m’a dit : « J’ai des CD’s à chroniquer, ça t’intéresse ? » J’ai dit « Oui, ça m’intéresse ». Alors là, il m’a sorti un carton avec des CD’s à chroniquer dedans. J’ai vu un album vert et orange avec des pin-up dessus, je l’ai pris, j’ai trouvé le dernier Ryan Adams, j’ai reposé le CD orange et vert, j’ai regardé ce qu’il y avait d’autre, j’ai repris le CD orange et vert. Bref, c’est le premier album de Candy Flesh et il s’appelle PSYCHOTIC TALES. La pochette est verte et orange avec des pin-up dessus, ça m’a fait pensé à de la surf music ou du rock garage façon côte ouest des Etats-Unis d’Amérique. Arrivé à la maison, je mets le CD dans le lecteur, j’écoute, j’aime pas, je me dit que je vais pas le chroniquer, je le ressors, je mets le dernier Ryan Adams, j’aime bien.
Quelques jours plus tard, Anthony me demande : « T’as eu le temps de chroniquer le CD de Candy Flesh ? » J’ai dit que ça me plaisait pas, j’ai pensé « Si ça me plait pas, vaut mieux pas le chroniquer, j’ai pas envie de leur faire un mauvais papier, en plus ils sont autoproduit, ce serait pas cool ». Il m’a dit : « Ce serait cool de le chroniquer quand même », j’ai dit « Ok ».
Bref, j’ai remis le CD dans le lecteur : j’aime toujours pas. En fait c’est pas de la surf music, ni du rock garage mais plutôt un genre de grunge un peu bluesy. Ca commence avec du lourd (Taste Like Honey) et après 20 secondes y’a une fille qui commence à chanter, sauf qu’au début on sait pas si c’est une nana ou un mec, bref c’est une fille et elle s’appelle Clara. Sauf que Clara, des fois, elle beugle de manière un peu hystérique et des fois, elle susurre des paroles dans un franglais un peu approximatif. Ca ressemble un peu à Soundgarden, Paradise Lost et éventuellement Led Zepp, mais en moins inspiré. Le problème c’est que c’est un peu répétitif, que les mélodies sont un peu poussives et qu’on constate une fois encore que d’avoir de solides références musicales ne suffit malheureusement pas pour faire un bon disque. Et j’ai trouvé ça dommage parce que le groupe a mis de l’énergie et des moyens dans l’enregistrement avec l’engagement d’un producteur confirmé (Peter Deimel) dans un studio de renom (Black Box). J’ai ressorti l’album du lecteur et je l’ai remis dans mon étagère à CD parce qu’il faut dire que c’est un joli objet, orange et vert ok, mais joli quand même avec les pin-up en noir et blanc. Bref, aujourd’hui j’ai fait une chronique.


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