La semaine politique sous tous les angles
C’est décidemment la mode de la semaine, depuis que Nicolas Sarkozy a lancé le mot « référendum » (qu’il s’est bien gardé d’employer en métropole depuis son élection en 2007), voici François Bayrou, qui a annoncé que s'il était élu président, il en organiserait un le jour du premier tour des législatives avec comme thème « la moralisation de la vie publique».
Le président du MoDem veut moins de ministres et de parlementaires, une dose de proportionnelle, le non-cumul des mandats et la prise en compte du vote blanc (l’éternelle bonne proposition, mais qui ne voit jamais le jour).
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Hervé Morin, qui après avoir taclé le président sortant, vient de se retirer de la course élyséenne au profit de … celui qu’il a « bien critiqué », a été lors du congrès du Nouveau Centre samedi, huée par ses militants dont certains ont demandé sa démission.
Après avoir dit à « maintes reprises » tout comme Christine Boutin qu’il irait « jusqu’au bout », il perd de son aura auprès de ceux qui le soutenaient.
Cela fait penser à Jean-Louis Borloo qui a aussi déçu les gens du centre en renonçant à se présenter devant les votes en avril, après avoir laissé penser qu’il allait porter un message d’humanisme, Rama Yade y a laissé des plumes d’engagement.
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Nicolas Dupont-Aignan analyse la démarche du président candidat :
Sarkozy avait promis une idée par jour de campagne !
Résultat: une méchanceté par jour !
J'ai une autre idée de la fonction présidentielle.
Le président de « Debout la république » ne dévie pas d’un pouce dans son opposition, alors qu’il vient à la base du même parti, il ne flatte pas pour avoir un strapontin au conseil des ministres si l’actuel président est réélu !
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La presse en annonçant l'arrivée de Jean-Louis Borloo, ancien ministre de l'Ecologie à la tête de Veolia, a par la même annulé toute probabilité que celui-ci se retrouve à la tête du groupe.
En effet, même démentie, la polémique sur un éventuel parachutage, avec l'appui de l'Elysée, mais à « mal » celui qui se présente, depuis son entrée en campagne, et tente de convaincre qu’il est :
Le candidat du peuple.
Alors, Veolia, vraie ou fausse info, peut-être ne le saura-t-on jamais, mais pour qu’une telle trainée de poudre se répande, laisse sous-entendre que le doute est présent dans la tête des citoyens sur tous les sujets mis sur le tapis.
Pour que ce doute permanent disparaisse il faut tourner la page de l’histoire vers un nouveau « changement » !
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Corinne Lepage, la candidate de Cap21 à l'élection présidentielle, a dévoilé son programme :
La réduction simultanée de toutes des dettes budgétaires, écologiques, sociales et sanitaires.
Le changement profond dans les modes de gouvernance en donnant à chacun le droit et le pouvoir de faire.
Au total 70 mesures prioritaires, permettant de revenir à l'équilibre en verdissant la fiscalité et l'épargne.
Une candidate qui se démène en défendant l’écologie avec bec et ongle, une belle sincérité.
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Sur Canal+, Eva Joly a répondu « je l'emmerde » à Corinne Lepage, après que celle-ci ait déclaré qu'elle « ne donne pas une très bonne image de l'écologie ».
Sur le plateau de la nouvelle émission politique de TF1 elle a dit que si on lui parlait de « sondages » elle quitterait l’émission animée par Laurence Ferrari
Question : la candidate de EELV perdrait elle ses nerfs et ses marques, ne supportant plus une quelconque remarque ?
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Claude Guéant, Bruno Le Maire, Brigitte Bardot, Marine Le Pen parlent et s’affrontent par communiqués ou déclarations sur la mise à mort des animaux pour la viande hallal, mais, zappent presque tout le temps la souffrance des animaux dont l’agonie peut durer jusqu’à 14 minutes.
Il faudrait, pour que personne n’y retrouve à redire, que les animaux égorgés soient étourdis ou endormis pour éviter ce supplice inhumain.
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Claude Allègre, ancien ministre de l'Education du gouvernement Lionel Jospin, qui a rejoint Nicolas Sarkozy, a raillé François Hollande en le qualifiant de « handicap de la gauche ».
Qu’il se rassure, lui-même deviendra un poids lourd pour la droite car ses thèses sur le réchauffement climatique étant à la marge de celles de l’énorme majorité des scientifiques mondiaux, il risque d’être fortement décrié s’il met sa patte dans la campagne.
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François Bayrou dans Parole de candidat a répondu à une question « qu’une retraite ne peux être équivalente avec un le smic d’un travailleur », laissant entendre que ce ne serait pas logique ou équitable.
Cette réponse à une retraitée, et aux retraités en général, est un camouflet à celles et ceux qui ont travaillé tout au long de leur vie, et qui, de part ce style de réponse se retrouve classés en sous-catégorie !
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A la semaine prochaine …
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble