Malgré l'injection de 75 millions, le projet (ndlr : informatisation du système judiciaire) était déployé à seulement 21 pour cent au ministère de la Justice, puis à 40 pour cent au ministère de la Sécurité publique. Dès 2009, le Vérificateur général du Québec avait lancé un signal d'alarme, signifiant que le Système intégré d'information de justice (SIIJ), alors doté d'un budget de 80 millions, n'était pas géré " avec un souci d'économie et d'efficience ".