Raymond Viger Dossiers Break-dance, Hip-hop, Gangs de rue
Hiphop et gang de rue. Deux mots que je n’aime pas mettre dans la même phrase. Le Journal de Montréal de vendredi dernier, sous la plus d’Éric Thibault, nous mentionne que le bar Le Pionnier du boulevard Lakeshore a voulu tenir une soirée Hiphop. La police de Montréal est intervenue auprès de la Régie des alcools, des courses et des jeux pour s’opposer craignant qu’une soirée Hiphop serve de rassemblement à des gangs de rue.
C’est vrai qu’il y a des membres de gangs de rue qui écoutent du rap ou qui font parti de la culture Hiphop. Mais il y a aussi des criminels qui aiment le classique. Même qu’un membre en règle des Hells Angels faisait parti d’un orchestre symphonique à Québec. Est-ce une raison pour qu’on empêche les orchestres symphoniques de jouer?