Autant j’avoue apprécier le site de micro-blogging Twitter (qui fait beaucoup parler de lui à cause de la publication des résultats électoraux avant 20h), autant à en lire cet article sur Le Figaro, il me semble qu’au Québec les choses vont un peu loin : la province a en effet instauré un “institut de twittérature comparée”, recevant de l’Etat canadien une aide de 72 000 $ !
Ceci à propos d’un phénomène en vogue : l’éducation via Twitter. Ainsi, de nombreux professeurs se mettent au réseau social pour faire réviser le bac à leur élèves, d’une manière nouvelle à la fois ludique, pratique et efficace. De la sorte, on peut suivre sur son smartphone l’actualité tout en s’adonnant aux questions/réponses courtes de révision express. Mine de rien, ce système semble être efficace pour être au top le jour J (car on n’est jamais à l’abri des trous de mémoire, comblés par les mots et dates-clés gazouillés sur Twitter – oui, “twitter” signifie gazouiller en anglais !).
Selon les journalistes du Figaro, Twitter serait un “nouveau vecteur” informationnel. Reste seulement à espérer que 140 caractères ne remplaceront pas les cours du bac, ni les articles journalistiques d’ailleurs !
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