Magazine Côté Femmes

2 petits tours et puis c'est fini, la valse à mis le temps...

Publié le 04 mai 2012 par Marigotine

 

   Ainsi se termine la campagne électorale!

      Je nous souhaite à tous le meilleur à venir...

   Mais en sera t-il ainsi?

  

598d16e2-9539-11e1-9519-f629330146f1-800x532.jpg

  «Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.» Mercredi soir, les deux protagonistes du duel présidentiel ont confirmé la formule, en livrant une prestation hybride, ancrée dans la tradition des grands débats de l'entre-deux tours, mais exceptionnelle par son intensité. Il n'a pas fallu attendre longtemps pour que les codes traditionnels volent en éclats, d'abord à la faveur d'une inversion des rôles. En effet, contrairement à ses prédécesseurs, Nicolas Sarkozy se pose en challenger. En face, François Hollande semble transfiguré par la confrontation. Par la façon même qu'il a de se tenir - mains posées et corps droit - ce dernier a voulu «présidentialiser» jusqu'à son attitude, afin de montrer aux téléspectateurs qu'il est déjà entré de plain-pied dans le champ symbolique de la fonction suprême. Crédits photo : © POOL New / Reuters/REUTERS Carla cache nous ce petit bidon qu'on ne saurai voir.... Un lâcher prise jusque dans l'élastique!    à moins que?
Tendu. Il était presque minuit mercredi soir lorsque Nicolas Sarkozy et Carla Bruni ont quitté les premiers le studio 107, situé à la Plaine-Saint-Denis, en banlieue parisienne. Après près de trois heures de débat, l'heure était au bilan pour les deux candidats à la présidentielle. «Il n'y a pas que moi qui l'ai trouvé agressif. C'est comme ça, c'est sa personnalité», tacle le candidat sortant à propos de son concurrent. «Je me sens comme un homme qui va rentrer chez lui, avec sa femme, prendre un peu de repos après un débat qui, de mon point de vue, a été intéressant. Mais c'est aux Français d'en décider», confie ensuite Nicolas Sarkozy. Ce jeudi, le président candidat a affirmé que «jamais, je pense, une élection n'aura été aussi indécise». «J'ai toujours pensé que ça se jouerait dans un mouchoir de poche», a-t-il ajouté. «Je pense qu'on peut gagner. Je pense qu'on va gagner», a t'il ajouté, «mais si les Français en décidaient autrement, à ce moment, ça signifierait une autre vie».
Tendu. Il était presque minuit mercredi soir lorsque Nicolas Sarkozy et Carla Bruni ont quitté les premiers le studio 107, situé à la Plaine-Saint-Denis, en banlieue parisienne. Après près de trois heures de débat, l'heure était au bilan pour les deux candidats à la présidentielle. «Il n'y a pas que moi qui l'ai trouvé agressif. C'est comme ça, c'est sa personnalité», tacle le candidat sortant à propos de son concurrent. «Je me sens comme un homme qui va rentrer chez lui, avec sa femme, prendre un peu de repos après un débat qui, de mon point de vue, a été intéressant. Mais c'est aux Français d'en décider», confie ensuite Nicolas Sarkozy. Ce jeudi, le président candidat a affirmé que «jamais, je pense, une élection n'aura été aussi indécise». «J'ai toujours pensé que ça se jouerait dans un mouchoir de poche», a-t-il ajouté. «Je pense qu'on peut gagner. Je pense qu'on va gagner», a t'il ajouté, «mais si les Français en décidaient autrement, à ce moment, ça signifierait une autre vie»." title="2 petits tours et puis c'est fini, la valse à mis le temps..." />Tendu. Il était presque minuit mercredi soir lorsque Nicolas Sarkozy et Carla Bruni ont quitté les premiers le studio 107, situé à la Plaine-Saint-Denis, en banlieue parisienne. Après près de trois heures de débat, l'heure était au bilan pour les deux candidats à la présidentielle. «Il n'y a pas que moi qui l'ai trouvé agressif. C'est comme ça, c'est sa personnalité», tacle le candidat sortant à propos de son concurrent. «Je me sens comme un homme qui va rentrer chez lui, avec sa femme, prendre un peu de repos après un débat qui, de mon point de vue, a été intéressant. Mais c'est aux Français d'en décider», confie ensuite Nicolas Sarkozy. Ce jeudi, le président candidat a affirmé que «jamais, je pense, une élection n'aura été aussi indécise». «J'ai toujours pensé que ça se jouerait dans un mouchoir de poche», a-t-il ajouté. «Je pense qu'on peut gagner. Je pense qu'on va gagner», a t'il ajouté, «mais si les Français en décidaient autrement, à ce moment, ça signifierait une autre vie»." border="0" />   Il était presque minuit mercredi soir lorsque Nicolas Sarkozy et Carla Bruni ont quitté les premiers le studio 107, situé à la Plaine-Saint-Denis, en banlieue parisienne. Après près de trois heures de débat, l'heure était au bilan pour les deux candidats à la présidentielle. «Il n'y a pas que moi qui l'ai trouvé agressif. C'est comme ça, c'est sa personnalité», tacle le candidat sortant à propos de son concurrent. «Je me sens comme un homme qui va rentrer chez lui, avec sa femme, prendre un peu de repos après un débat qui, de mon point de vue, a été intéressant. Mais c'est aux Français d'en décider», confie ensuite Nicolas Sarkozy. Ce jeudi, le président candidat a affirmé que «jamais, je pense, une élection n'aura été aussi indécise». «J'ai toujours pensé que ça se jouerait dans un mouchoir de poche», a-t-il ajouté. «Je pense qu'on peut gagner. Je pense qu'on va gagner», a t'il ajouté, «mais si les Français en décidaient autrement, à ce moment, ça signifierait une autre vie». Crédits photo : FRED DUFOUR/AFP Valérie, Valérie,    Tiens donc, jamais fait le rapprochement jusqu'à maintenant?   
Candidat. François Hollande est arrivé le premier à la Plaine-Saint-Denis, accompagné de Valérie Trierweiler, sa compagne. Au même moment, une cinquantaine de salariés de PSA d'Aulnay-sous-Bois manifestaient à proximité des studios où les candidats devaient s'affronter lors du débat de la présidentielle. Le candidat socialiste est alors descendu de voiture pour aller dialoguer avec les manifestants qui étaient tenus à distance par les forces de l'ordre. François Hollande a jugé tout à fait normal d'être allé discuter avec ces salariés, qui craignent la fermeture de leur usine, en Seine-Saint-Denis. «Je savais que vous étiez là et je voulais venir à votre rencontre pour que votre manifestation ne reste pas de côté, que vous puissiez au moins être entendus», a lancé le candidat socialiste tandis que des «merci M. Hollande» émanaient de la petite foule regroupée face à lui.
Candidat. François Hollande est arrivé le premier à la Plaine-Saint-Denis, accompagné de Valérie Trierweiler, sa compagne. Au même moment, une cinquantaine de salariés de PSA d'Aulnay-sous-Bois manifestaient à proximité des studios où les candidats devaient s'affronter lors du débat de la présidentielle. Le candidat socialiste est alors descendu de voiture pour aller dialoguer avec les manifestants qui étaient tenus à distance par les forces de l'ordre. François Hollande a jugé tout à fait normal d'être allé discuter avec ces salariés, qui craignent la fermeture de leur usine, en Seine-Saint-Denis. «Je savais que vous étiez là et je voulais venir à votre rencontre pour que votre manifestation ne reste pas de côté, que vous puissiez au moins être entendus», a lancé le candidat socialiste tandis que des «merci M. Hollande» émanaient de la petite foule regroupée face à lui." title="2 petits tours et puis c'est fini, la valse à mis le temps..." />Candidat. François Hollande est arrivé le premier à la Plaine-Saint-Denis, accompagné de Valérie Trierweiler, sa compagne. Au même moment, une cinquantaine de salariés de PSA d'Aulnay-sous-Bois manifestaient à proximité des studios où les candidats devaient s'affronter lors du débat de la présidentielle. Le candidat socialiste est alors descendu de voiture pour aller dialoguer avec les manifestants qui étaient tenus à distance par les forces de l'ordre. François Hollande a jugé tout à fait normal d'être allé discuter avec ces salariés, qui craignent la fermeture de leur usine, en Seine-Saint-Denis. «Je savais que vous étiez là et je voulais venir à votre rencontre pour que votre manifestation ne reste pas de côté, que vous puissiez au moins être entendus», a lancé le candidat socialiste tandis que des «merci M. Hollande» émanaient de la petite foule regroupée face à lui." border="0" />  François Hollande est arrivé le premier à la Plaine-Saint-Denis, accompagné de Valérie Trierweiler, sa compagne. Au même moment, une cinquantaine de salariés de PSA d'Aulnay-sous-Bois manifestaient à proximité des studios où les candidats devaient s'affronter lors du débat de la présidentielle. Le candidat socialiste est alors descendu de voiture pour aller dialoguer avec les manifestants qui étaient tenus à distance par les forces de l'ordre. François Hollande a jugé tout à fait normal d'être allé discuter avec ces salariés, qui craignent la fermeture de leur usine, en Seine-Saint-Denis. «Je savais que vous étiez là et je voulais venir à votre rencontre pour que votre manifestation ne reste pas de côté, que vous puissiez au moins être entendus», a lancé le candidat socialiste tandis que des «merci M. Hollande» émanaient de la petite foule regroupée face à lui. Crédits photo : LIONEL BONAVENTURE/AFP  Je n'aurai qu'un mot à vous dire "Bercy" à tous......
… A Bercy. François Hollande avait donné rendez-vous ce dimanche à ses partisans enthousiastes réunis dans un Palais omnisports de Paris comble, pour son dernier meeting parisien avant le second tour de dimanche prochain. Après avoir traversé, en serrant des mains, cette vaste salle où s'étaient réunies quelque 20.000 personnes en liesse, François Hollande a lancé: «Vous êtes là! Ça tombe bien, je vous attendais, je vous attendais depuis si longtemps! Depuis des années!» «Des années qu'on luttait, qu'on combattait, qu'on espérait et voilà: le changement est là, il arrive», a déclaré le candidat du PS. Alors que son opposant tenait meeting au même moment à Toulouse, François Hollande a opposé «le patriotisme» au «nationalisme» et au «souverainisme». Le patriotisme c'est aussi «porter des références qui valent pour nous-mêmes et pour les autres, le patriotisme c'est s'aimer soi-même pour aimer les autres et avoir peur de rien, ne rien craindre dans la compétition mondiale, dans l'Europe qui se construit», a-t-il fait valoir.
… A Bercy. François Hollande avait donné rendez-vous ce dimanche à ses partisans enthousiastes réunis dans un Palais omnisports de Paris comble, pour son dernier meeting parisien avant le second tour de dimanche prochain. Après avoir traversé, en serrant des mains, cette vaste salle où s'étaient réunies quelque 20.000 personnes en liesse, François Hollande a lancé: «Vous êtes là! Ça tombe bien, je vous attendais, je vous attendais depuis si longtemps! Depuis des années!» «Des années qu'on luttait, qu'on combattait, qu'on espérait et voilà: le changement est là, il arrive», a déclaré le candidat du PS. Alors que son opposant tenait meeting au même moment à Toulouse, François Hollande a opposé «le patriotisme» au «nationalisme» et au «souverainisme». Le patriotisme c'est aussi «porter des références qui valent pour nous-mêmes et pour les autres, le patriotisme c'est s'aimer soi-même pour aimer les autres et avoir peur de rien, ne rien craindre dans la compétition mondiale, dans l'Europe qui se construit», a-t-il fait valoir." title="2 petits tours et puis c'est fini, la valse à mis le temps..." />… A Bercy. François Hollande avait donné rendez-vous ce dimanche à ses partisans enthousiastes réunis dans un Palais omnisports de Paris comble, pour son dernier meeting parisien avant le second tour de dimanche prochain. Après avoir traversé, en serrant des mains, cette vaste salle où s'étaient réunies quelque 20.000 personnes en liesse, François Hollande a lancé: «Vous êtes là! Ça tombe bien, je vous attendais, je vous attendais depuis si longtemps! Depuis des années!» «Des années qu'on luttait, qu'on combattait, qu'on espérait et voilà: le changement est là, il arrive», a déclaré le candidat du PS. Alors que son opposant tenait meeting au même moment à Toulouse, François Hollande a opposé «le patriotisme» au «nationalisme» et au «souverainisme». Le patriotisme c'est aussi «porter des références qui valent pour nous-mêmes et pour les autres, le patriotisme c'est s'aimer soi-même pour aimer les autres et avoir peur de rien, ne rien craindre dans la compétition mondiale, dans l'Europe qui se construit», a-t-il fait valoir." border="0" />   François Hollande avait donné rendez-vous ce dimanche à ses partisans enthousiastes réunis dans un Palais omnisports de Paris comble, pour son dernier meeting parisien avant le second tour de dimanche prochain. Après avoir traversé, en serrant des mains, cette vaste salle où s'étaient réunies quelque 20.000 personnes en liesse, François Hollande a lancé: «Vous êtes là! Ça tombe bien, je vous attendais, je vous attendais depuis si longtemps! Depuis des années!» «Des années qu'on luttait, qu'on combattait, qu'on espérait et voilà: le changement est là, il arrive», a déclaré le candidat du PS. Alors que son opposant tenait meeting au même moment à Toulouse, François Hollande a opposé «le patriotisme» au «nationalisme» et au «souverainisme». Le patriotisme c'est aussi «porter des références qui valent pour nous-mêmes et pour les autres, le patriotisme c'est s'aimer soi-même pour aimer les autres et avoir peur de rien, ne rien craindre dans la compétition mondiale, dans l'Europe qui se construit», a-t-il fait valoir. Crédits photo : KENZO TRIBOUILLARD/AFP Et soudain le miracle eu lieu:               L'homme survola les 200 000 drapeaux.....
«La vraie fête du travail». «Mes chers amis, vous êtes 200 000!» lance Nicolas Sarkozy sur fond de ciel bleu, et devant la tour Eiffel. Le candidat UMP promet à ses partisants de faire rendre gorge aux «insulteurs» qui ont condamné sa fête du travail, à commencer par les syndicats: «Je le dis aux syndicats, posez le drapeau rouge et servez la France. Je le dis aux syndicats, laissez de côté les partis. Votre rôle est de défendre les salariés et de défendre le travail. Rappelez vous votre mission. Ne la trahissez pas. «Ceux que vous soutenez, ne vous le rendront pas» martèle encore Nicolas Sarkozy avant de fustiger une gauche qui selon lui «promet le matracage fiscal des classes moyennes» et l'abandon des salariés. Nicolas Sarkozy conclue «je me battrai, jusqu'à la dernière seconde de la dernière minute». Voilà qui donne le ton pour le duel télévisé, le débat qui l'opposera ce soir à François Hollande.
«La vraie fête du travail». «Mes chers amis, vous êtes 200 000!» lance Nicolas Sarkozy sur fond de ciel bleu, et devant la tour Eiffel. Le candidat UMP promet à ses partisants de faire rendre gorge aux «insulteurs» qui ont condamné sa fête du travail, à commencer par les syndicats: «Je le dis aux syndicats, posez le drapeau rouge et servez la France. Je le dis aux syndicats, laissez de côté les partis. Votre rôle est de défendre les salariés et de défendre le travail. Rappelez vous votre mission. Ne la trahissez pas. «Ceux que vous soutenez, ne vous le rendront pas» martèle encore Nicolas Sarkozy avant de fustiger une gauche qui selon lui «promet le matracage fiscal des classes moyennes» et l'abandon des salariés. Nicolas Sarkozy conclue «je me battrai, jusqu'à la dernière seconde de la dernière minute». Voilà qui donne le ton pour le duel télévisé, le débat qui l'opposera ce soir à François Hollande." title="2 petits tours et puis c'est fini, la valse à mis le temps..." />«La vraie fête du travail». «Mes chers amis, vous êtes 200 000!» lance Nicolas Sarkozy sur fond de ciel bleu, et devant la tour Eiffel. Le candidat UMP promet à ses partisants de faire rendre gorge aux «insulteurs» qui ont condamné sa fête du travail, à commencer par les syndicats: «Je le dis aux syndicats, posez le drapeau rouge et servez la France. Je le dis aux syndicats, laissez de côté les partis. Votre rôle est de défendre les salariés et de défendre le travail. Rappelez vous votre mission. Ne la trahissez pas. «Ceux que vous soutenez, ne vous le rendront pas» martèle encore Nicolas Sarkozy avant de fustiger une gauche qui selon lui «promet le matracage fiscal des classes moyennes» et l'abandon des salariés. Nicolas Sarkozy conclue «je me battrai, jusqu'à la dernière seconde de la dernière minute». Voilà qui donne le ton pour le duel télévisé, le débat qui l'opposera ce soir à François Hollande." border="0" />   «Mes chers amis, vous êtes 200 000!» lance Nicolas Sarkozy sur fond de ciel bleu, et devant la tour Eiffel. Le candidat UMP promet à ses partisants de faire rendre gorge aux «insulteurs» qui ont condamné sa fête du travail, à commencer par les syndicats: «Je le dis aux syndicats, posez le drapeau rouge et servez la France. Je le dis aux syndicats, laissez de côté les partis. Votre rôle est de défendre les salariés et de défendre le travail. Rappelez vous votre mission. Ne la trahissez pas. «Ceux que vous soutenez, ne vous le rendront pas» martèle encore Nicolas Sarkozy avant de fustiger une gauche qui selon lui «promet le matracage fiscal des classes moyennes» et l'abandon des salariés. Nicolas Sarkozy conclue «je me battrai, jusqu'à la dernière seconde de la dernière minute». Voilà qui donne le ton pour le duel télévisé, le débat qui l'opposera ce soir à François Hollande. Crédits photo : LIONEL BONAVENTURE/AFP  Dans 52 heures tout sera plié ....      Votons votons!    Votez votez!
                 
Duel télévisé. À France 2 et TF1, ce mercredi, tout le monde est sur le pied de guerre. Prêt à accueillir les deux candidats à la Présidentielle 2012 qui vont s'affronter sur le plateau d'un studio de la Plaine-Saint-Denis dès 21 heures. Pour l'occasion, une chartre a été signée par chaque partie prenante, en l'occurrence les deux responsables de communication, Manuel Valls pour François Hollande et Franck Louvrier pour Nicolas Sarkozy. Le document est lourd de détails. Taille de la table qui doit mesurer 2m50, température sur le plateau, fraîche forcément, lumières indirectes, cadrages, place des candidats, décor sobre avec en toile de fond une photo de l'Elysée. Et une grosse horloge qui indiquera les temps de paroles respectifs. La production envisage un minimum de 2 heures 30 de débat animées par Laurence Ferrari et David Pujadas autour des thèmes incontournables de l'économie, l'immigration, la sécurité, la politique étrangère...
Duel télévisé. À France 2 et TF1, ce mercredi, tout le monde est sur le pied de guerre. Prêt à accueillir les deux candidats à la Présidentielle 2012 qui vont s'affronter sur le plateau d'un studio de la Plaine-Saint-Denis dès 21 heures. Pour l'occasion, une chartre a été signée par chaque partie prenante, en l'occurrence les deux responsables de communication, Manuel Valls pour François Hollande et Franck Louvrier pour Nicolas Sarkozy. Le document est lourd de détails. Taille de la table qui doit mesurer 2m50, température sur le plateau, fraîche forcément, lumières indirectes, cadrages, place des candidats, décor sobre avec en toile de fond une photo de l'Elysée. Et une grosse horloge qui indiquera les temps de paroles respectifs. La production envisage un minimum de 2 heures 30 de débat animées par Laurence Ferrari et David Pujadas autour des thèmes incontournables de l'économie, l'immigration, la sécurité, la politique étrangère..." title="2 petits tours et puis c'est fini, la valse à mis le temps..." />Duel télévisé. À France 2 et TF1, ce mercredi, tout le monde est sur le pied de guerre. Prêt à accueillir les deux candidats à la Présidentielle 2012 qui vont s'affronter sur le plateau d'un studio de la Plaine-Saint-Denis dès 21 heures. Pour l'occasion, une chartre a été signée par chaque partie prenante, en l'occurrence les deux responsables de communication, Manuel Valls pour François Hollande et Franck Louvrier pour Nicolas Sarkozy. Le document est lourd de détails. Taille de la table qui doit mesurer 2m50, température sur le plateau, fraîche forcément, lumières indirectes, cadrages, place des candidats, décor sobre avec en toile de fond une photo de l'Elysée. Et une grosse horloge qui indiquera les temps de paroles respectifs. La production envisage un minimum de 2 heures 30 de débat animées par Laurence Ferrari et David Pujadas autour des thèmes incontournables de l'économie, l'immigration, la sécurité, la politique étrangère..." border="0" />   À France 2 et TF1, ce mercredi, tout le monde est sur le pied de guerre. Prêt à accueillir les deux candidats à la Présidentielle 2012 qui vont s'affronter sur le plateau d'un studio de la Plaine-Saint-Denis dès 21 heures. Pour l'occasion, une chartre a été signée par chaque partie prenante, en l'occurrence les deux responsables de communication, Manuel Valls pour François Hollande et Franck Louvrier pour Nicolas Sarkozy. Le document est lourd de détails. Taille de la table qui doit mesurer 2m50, température sur le plateau, fraîche forcément, lumières indirectes, cadrages, place des candidats, décor sobre avec en toile de fond une photo de l'Elysée. Et une grosse horloge qui indiquera les temps de paroles respectifs. La production envisage un minimum de 2 heures 30 de débat animées par Laurence Ferrari et David Pujadas autour des thèmes incontournables de l'économie, l'immigration, la sécurité, la politique étrangère... Crédits photo : FRANCK FIFE/AFP

Retour à La Une de Logo Paperblog