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Festival de Cannes : 3 films qui firent rougir les murs des salles de cinéma...

Publié le 16 mai 2012 par Princessboudoir @lovestorereims


Basic Instinct: Bande Annonce

Aujourd’hui, 16 mai 2012 et premier jour du 65e Festival de Cannes, comment résister à un petit palmarès de films récents et très explicites qui créèrent le scandale au Festival…

1992 : Basic Instinct, de Paul Verhoeven.

En compétition lors du 45e Festival de Cannes et récompensé d’une Palme d’Or, le thriller érotique mettait en vedette Sharon Stone, dans le rôle d’une femme écrivain sulfureuse, aux côtés de Michael Douglas, jouant un inspecteur. Scène culte du film : l’interrogatoire de l’héroïne dans un commissariat en robe blanche et sans petite culotte, jouant à croiser et décroiser les jambes…

2003 : The Brown Bunny, de Vincent Gallo.

Présenté lors du 56e Festival de Cannes, ce film indépendant, en plus d’ennuyer le public, le choqua avec une  longue scène de fellation non simulée entre le héros, un pilote de moto, Bud Clay (Vincent Gallo) et la femme qu’il aime, Daisy (Chloë Sevigny). Une scène peut-être plus facile à jouer car Chloë et Vincent étaient amants dans la vraie vie à l’époque du tournage !

2009 : Antichrist, de Lars Von Trier.

Lors du 62e Festival de Cannes, Charlotte Gainsbourg reçut le Prix d’Interprétation Féminine pour Antichrist avec Willem Dafoe. Ce film en noir et blanc, descendu par la critique, montre un couple exorcisant la perte d’un enfant sur fond de violence ainsi que de véritables scènes d’amour et de masturbation. « Abject et dégueulasse » selon un expert de Studio Ciné Live !


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