La madone II [Morceau d'essai]

Vous connaissez peut-être ma première nouvelle intitulé "la Madone" ?
Face aux messages d'encouragements et pour remercier ceux qui m'avaient aidé pour la synthaxe [Loana, Duncan, Claire, Brigitte], j'ai décidé de me remettre à l'ouvrage. Je poste là ce que j'appelerai un bout d'essai, comme lorsqu'un comédien essai d'optenir un rôle pour une pièce de théatre auprés d'un jury... J'espère trouver en moi la force d'inspiration qui m'avait fais créer la madonne en 2004! Le premier opus parlait du coup de foudre et j'ai decider d'aller chercher plus loin... La madonne étais le reflet de ma vie de célibataire pour celui-ci j'ai décidé d'entrer dans l'imerssion de mes souvenirs pour apréhender une fiction plus profonde sur l'amour... A voir, vous êtes mon Jury... Vos avis sur l'avant gout.

Im@ge composition by Nito

Je ne connais qu’un seul sentiment capable de détruire une personne autant qu’elle à pu le combler. Un sentiment aussi profond que la sensation d’une lame engouffré dans un lambeau de chaire ou d’un effluve de rose chatouillant des narines, il est le tout, qui comble nos instants de rien ! La vie nous offre parfois se cadeau empoisonné que l’on appel l’amour, et aussi surprenant soit’il, elle nous en fait l’offrande maintes fois à la traverser de nos existences ! Mais pour faire l’expérience de toute chose il faut une première fois, l’amour ne déroge pas à cette règle, il lui à même rendu sa magnificence qu’est le premier amour. Je suis tombé amoureuse pour la première fois de ma vie en 1998, je n’ai compris ce qui m’arrivais que lorsque mes pieds ont quitté le sol pour rejoindre ma tête qui côtoyais les nuages et je constate que malgré les années, se premier sentiment d’amour aura changé ma vie à jamais. De son parfum reste la couleur verte de ses yeux, l’or coulant au fil de ses cheveux roux, les trais fin de son visage, et son sourire qui illuminais d’un seul trait les ombres de mon adolescence… encore maintenant reste dans ma mémoire comme un parfum de paix à la vision lointaine de se souvenir d’Amour… je voulais être comme elle, je voulais acquérir son estime pour avoir du poids à ses yeux… Suis-je passer à côté de ce que j’étais vraiment pour rassasier la soif d’un amour impossible, où était-je simplement trop jeune pour comprendre qu’elle était la première de la ligné qui me ferai perdre la tête par la suite ?