A Nü Köza,rue Charlie Chaplin,à Dijon,c’est une exposition collective qui vient d’une galerie de Metz. Ce sont des gravures. La consigne proposée aux artistes: juste le format,un mètre carré. Ce qui donne une présentation uniforme très agréable. Et simple,de surcroit,comme je les aime chez Nü Köza: chaque œuvre occupe un grand papier blanc accroché avec deux pinces à dessin. C’est tout.
A voir jusqu’au 1er juillet.
Une dizaine d’artistes a répondu à cet appel à projet (lancé donc par la galerie associative modulab,à Metz). Ils sont graveurs,plasticiens,peintres,illustrateurs etc. A l’exception d’une œuvre,c’est un ensemble de noir et blanc. Ici,des scènes de vie avec personnages et actions,là une éolienne ou un conte de fées,une composition surréaliste …etc.
La gravure m’a toujours fascinée. Par la complexité du travail et de la technique,par l’idée du passage (d’une matière à une autre) avec inversion en outre! Par le côté définitif,inoubliable et indestructible …Mais reproductible…Bref. C’est un art différent et troublant. Et il faut savoir en jouer avec maîtrise. Il me semble aussi que dans une gravure on peut observer chaque trait davantage que dans un simple dessin,et en sentir le rôle,la direction,la force,la densité.
Le dessin,le graphisme et les univers créés dans ces œuvres exposée à Nü Köza sont vraiment intéressants,vous verrez.
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A signaler,une exposition collective « La Clairière »organisée par Nü Köza du 6 juillet au 2 août,dans l’église Saint-Philibert,à Dijon.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble