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Time out (In time)

Publié le 18 juin 2012 par Bigreblog

Hello tout le monde! Eh oui, aujourd’hui est le jour où vous allez dégustez blindé d’articles, vu que mon weekend ciné a juste été amputé de Snow White et de Centurion, que j’ai tout de même gardé au frais pour tout à l’heure.

Et donc, me voilà, toute fraiche comme une gardonne, prête à faire une review ô combien inutile d’un film ô combien inutile lui aussi, Time out. Ou In time. encore la preuve que la traduction française des titres originaux est naze.

Pourtant, In time, ça commence bien. Un thème accrocheur, celui de la vie éternelle, compromise par le fait qu’évidemment cette vie éternelle ne peut être effective que pour les grands de ce monde, ceux qui ont bien assez de temps à revendre.

Time out (In time)

Mais cours, bon sang, on va rater le bus!

Justin Timberlake, en héros non-bafoué et intègre, en jette une petite. Garçon du ghetto, pauvre Will se bat chaque jour pour qu’à la fin de la journée, sa mère et lui aient tous deux assez de temps pour voir la journée suivante. Celui-là, c’est un personnage presque crédible. Presque, parce que la mort d’une mère, ça ébranle quand même plus que ce que le jeune homme démontre comme “tristesse intense”.

Time out (In time)

My name is Salas, Will Salas

Matt Bomer, el bogoss, qui fait une apparition surprise en pauvre centenaire qui en a ras la couenne de vivre, et qui offre son temps restant (un bon 116 ans quand même) à un Will endormi, avant d’aller gentiment attendre que la mort le prenne. Comme quoi, la vie éternelle, ça lasse à force.

Alex Pettyfer, maintenant, qui est là on ne sait pourquoi, en fait, à part pour chiper du temps au gens parce que c’est un gros con. Voilà. Pointless donc.

Cillian Murphy, de la tête de qui je ne me lasserai jamais, qui nous fait un genre Agent Smith du temps, badass et tout. Raymond. Un prénom à chier. Mais un bon personnage, qui commence à piger les dérives du système qu’il défend. Oh, ben, ça alors, c’est bizarre que dans les ghettos les gens meurent de plus en plus tôt! Brave petit. Et en fait, le manteau, on aurait dit une copie de Barty Croupton Jr. Si, vous savez, Dave dans Harry Potter..

:)

Time out (In time)

Holy shit! J’ai oublié ma réplique!

Amanda Seyfried, qui ne sert à rien. C’est bête, je commençais à bien l’apprécier, cette gamine, après Mamma Mia!. Eh ben, mon avis a quelque peu changé. Pauvre fifille à son papounet qui se retrouve avec une misérable demi-heure à vivre. Ça, c’est con!

Time out (In time)

Coupe Mireille Mathieu: activée!

Olivia Wilde, enfin. J’ai pas trop capté le but de ne pas faire vieillir les gens après 25 ans quand Will et sa mère ont obviously la trentaine bien frappée. Mais bref. Elle était cool, Maman Salas. Jusqu’à ce que… Les bus, ça tue. La preuve ici encore. Quand je pense qu’à une seconde près, elle était sauvée. Ça, c’est ballot quand même!

Bref, malgré un message on ne peut plus actuel et tout, Time out/In time est très très mal exploité, tant au niveau du jeu discutable de ses interprètes principaux qu’au niveau du cadrage ou tout simplement de l’esthétique/dynamique du film. Je veux bien que les richards n’ont pas besoin de courir, mais un film trop lent, ça embête, à partir d’un moment, nan?

Note: 6/10 (scénario: 5/10 (mal mal mal exploité, le sujet, bon sang!)jeu: 6/10 (Cillian, merci d’exister)BO: 5/10 (beuh, y en avait une?)message: 8/10 (allez, on va rattraper tout ça))

Time out (In time)

Tihihi, c’est trop marrant, on a autant de point que le flop de l’année dernière!



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