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Un compromis franco-allemand permettra l’accord

Publié le 28 juin 2012 par Radiocaracol @radiocaracol1

Les dirigeants européens se retrouvent jeudi à Bruxelles pour une réunion au sommet où seul un compromis entre la France et l’Allemagne permettra de déboucher sur un accord susceptible de stabiliser la crise de la dette dans la zone euro.

franco allemand

Photo REUTERS

Le terrain a été dégagé par le rapport présenté par les présidents Herman Van Rompuy (Conseil européen), José Manuel Barroso (Commission), Jean-Claude Juncker (Eurogroupe) et Mario Draghi (Banque centrale), qui énumèrent les quatre piliers d’une « véritable union économique et monétaire ».

 
Ce document, qui ouvre la voie à une union bancaire, budgétaire et politique, a été bien accueilli dans la plupart des capitales, notamment à Paris, mais il reste à convaincre la chancelière Angela Merkel d’en accepter certaines parties.

 
François Hollande et Angela Merkel, dont l’entente déterminera la qualité de l’accord, ont tenté de rapprocher leurs positions lors d’une rencontre en tête-à-tête mercredi soir à Paris mais rien de substantiel n’a filtré.

 
« Il existe des points de convergence, nous avons beaucoup progressé, il existe encore des sujets de discussion, ils ont été traités par le président de la République et la chancelière hier et la discussion va se poursuivre aujourd’hui à 27″, a déclaré jeudi sur i>TÉLÉ le ministre français des Affaires européennes, Bernard Cazeneuve.

 
De source française, on juge que les pourparlers entre le président français et la chancelière allemande ont été « utiles ».

 
Tous deux, dit-on à l’Elysée, ont exprimé leur détermination à parvenir à un accord au Conseil européen de Bruxelles pour stimuler la croissance et assurer la stabilité de la zone euro.

 
Le terrain a été dégagé par le rapport présenté par les présidents Herman Van Rompuy (Conseil européen), José Manuel Barroso (Commission), Jean-Claude Juncker (Eurogroupe) et Mario Draghi (Banque centrale), qui énumèrent les quatre piliers d’une « véritable union économique et monétaire ».

 
Ce document, qui ouvre la voie à une union bancaire, budgétaire et politique, a été bien accueilli dans la plupart des capitales, notamment à Paris, mais il reste à convaincre la chancelière Angela Merkel d’en accepter certaines parties.

 
François Hollande et Angela Merkel, dont l’entente déterminera la qualité de l’accord, ont tenté de rapprocher leurs positions lors d’une rencontre en tête-à-tête mercredi soir à Paris mais rien de substantiel n’a filtré.

 
« Il existe des points de convergence, nous avons beaucoup progressé, il existe encore des sujets de discussion, ils ont été traités par le président de la République et la chancelière hier et la discussion va se poursuivre aujourd’hui à 27″, a déclaré jeudi sur i>TÉLÉ le ministre français des Affaires européennes, Bernard Cazeneuve.

 
De source française, on juge que les pourparlers entre le président français et la chancelière allemande ont été « utiles ».

 
Tous deux, dit-on à l’Elysée, ont exprimé leur détermination à parvenir à un accord au Conseil européen de Bruxelles pour stimuler la croissance et assurer la stabilité de la zone euro.

 
Le président du Conseil italien, Mario Monti, propose ainsi, avec le soutien de la France, d’autoriser le Fonds et le Mécanisme européens de stabilité financière (FESF et MES) à acheter de la dette souveraine sur le marché secondaire pour faire baisser le coût des emprunts des Etats en difficulté.

 
Herman Van Rompuy et ses trois collègues reconnaissent implicitement cette urgence dans leur rapport, en plaçant en tête des priorités la constitution d’une union bancaire pour casser le cercle vicieux dette souveraine-crise des banques par la mise en place de mécanismes supranationaux de supervision, de garantie des dépôts et de restructuration.

 
Le débat sur la mutualisation au moins partielle de la dette sera le point le plus délicat du sommet et, au stade actuel, seule une perspective semble pouvoir être ouverte.

 
Les Vingt-sept n’entreront véritablement dans le vif du sujet qu’à partir de 18h00 ce jeudi, avec l’examen du projet de pacte de croissance, puis un dîner de travail notamment consacré au rapport Van Rompuy-Barroso-Juncker-Draghi.

 
Vendredi, les 17 dirigeants de la zone euro se retrouveront pour déjeuner, avant qu’Angela Merkel retourne à Berlin pour assister à la ratification par le Parlement allemand du pacte budgétaire signé le 2 mars 2012 par 25 des 27 pays de l’UE.

 
Un pacte que François Hollande avait promis pendant la campagne de l’élection présidentielle française de renégocier pour y introduire un volet croissance et dont la ratification par la France dépend des résultats du Conseil de jeudi et vendredi, déclare-t-on dans son entourage. Les dirigeants européens se retrouvent jeudi à Bruxelles pour une réunion au sommet où seul un compromis entre la France et l’Allemagne permettra de déboucher sur un accord susceptible de stabiliser la crise de la dette dans la zone euro.

 
Le terrain a été dégagé par le rapport présenté par les présidents Herman Van Rompuy (Conseil européen), José Manuel Barroso (Commission), Jean-Claude Juncker (Eurogroupe) et Mario Draghi (Banque centrale), qui énumèrent les quatre piliers d’une « véritable union économique et monétaire ».

 
Ce document, qui ouvre la voie à une union bancaire, budgétaire et politique, a été bien accueilli dans la plupart des capitales, notamment à Paris, mais il reste à convaincre la chancelière

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