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Les enfants de la nuit - Frank DELANEY

Par Wakinasimba

enfants-nuit

Le Cherche Midi, 22 avril 2010, 559 pages

Résumé de l'éditeur :

Michael Newman, architecte londonien renommé, a vécu une relation passionnelle avec Madeleine, une femme fragile et mystérieuse, de quinze ans son aînée, dont il ne connaissait rien, ni son histoire ni son passé. Sans doute était-elle la femme de sa vie, mais il l'a compris trop tard : Madeleine a été assassinée dans d'étranges circonstances.

Trois ans plus tard, Michael, qui ne s'est toujours pas remis de ce drame, prend quelques jours de repos dans un hôtel en Suisse. C'est là qu'il fait la connaissance d'un couple de riches hongrois, qui lui montrent quelques photos de la villa qu'ils sont en train de restaurer en Italie. Sur l'une d'entre elles, Michael reconnaît une tour Eiffel en améthyste, une pièce unique créée pour Madeleine, le seul objet dérobé par l'assassin après le meurtre.

Dès lors, Michael, devenu la proie d'une série d'agressions, décide de lever le voile sur les secrets de Madeleine et de reprendre l'enquête sur sa mort. C'est le début d'un ténébreux voyage qui, de Londres à Venise en passant par New York et Athènes, le conduira au coeur du cauchemar nazi et de ses expériences les plus inhumaines.

Mon avis :

Que je me suis ennuyée à la lecture de ce roman ; que j'avais hâte qu'il se termine...

D'abord, les personnages sont mals campés, flous, avec des répartis improbables. Et puis les dialogues ne font pas avancés l'histoire.

Histoire qui s'étire en longueur tant le personnage principal met du temps à se décider. C'est vrai quoi, c'est lui le héros, il a qu'à assumer et que le roman commence enfin...

La partie "historique" est elle aussi bâclée : quelles conclusions les nazis ont tiré de toutes leurs expériences ? Rien n'est justifié, et j'ai eu l'impression que cela ne menait à rien. Comme dirait ma grand-mère : "Ca se termine en queue de poisson tout ça".

Le coupable est improbable, ses motivations 50 ans après les faits forts étranges, les liens entre les victimes forts minces.

Vous l'aurez compris, je n'ai pas accroché.

L'image que je retiendrai :

Celle du luxe dans lequel vit Michael. Je conçois qu'il n'ai pas voulu en sortir pour une quête improbable.


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