Magazine

TOUCHE A TON DOIGT #2 @ L’International

Publié le 20 juillet 2012 par Radiocampusparis @campusparis

TOUCHE A TON DOIGT #2 @ L’International

Annulez vos vacances !

Le 2 aout à l’international, débarque une bande de joyeux trublions bidouilleurs ! Entre les boucles endiablées de Guido Mobius, la harpe transformée de Guili Guili Goulag, et l’heavy listening de Ravi Shardja, la fin du monde risque d’arriver plus vite que prévu…

TOUCHE A TON DOIGT #2 @ L’International

20h : DJ Sascii
21h : Ravi Shardja
22h : Guili Guili Goulag
23h : Guido Möbius
0h : DJ Sascii

— Guido Mobius (Karaoke Kalk / ALL)

Quand Prince rencontre Captain Beefheart qui rencontre Mère Theresa

Avec rien d’autre que sa guitare, une trompette et toute une batterie d’effets branchés en série, Guido Möbuis crée des versions live de ses compositions. Dans ses performances, les compétences de Möbius pour les mélodies et son penchant pour la polyrythmie sont au premier plan. Les arrangements bien organisés alternent avec des passages d’improvisation excessive. Chaque étape dans la création de cette musique est publique: Lorsqu’il active l’une de ses pédales d’effet, le public est témoin de son processus créatif.


– Ravi Shardja (FR)

Heavy listening electric electronic eclectic music

Ravi Shardja alias Xavier Roux, compositeur multi-instrumentiste, a développé une large palette musicale,
en témoignent ses albums solo (Tuneless Monoland, Komando Papua). La musique de Ravi Shardja s’étire
entre multiples horizons au gré des humeurs avec comme dénominateur commun la basse électrique.
Ravi Shardja est membre du facétieux quatuor GOL, et du groupe franco-italien Oleo Strut.

http://soundcloud.com/ravi-shardja

– Guili Guili Goulag (Sound Bivalves Records – FR)

Post-rétro discoïde Pop, Punk futuriste, Doom nymphéal inconvenant

« Far far away, dans un paysage pittoresque fantastique où la guerre gronde, une bardesse désabusée souillant son instrument triangulaire, un nihiliste blond vénitien attendant patiemment la fin de l’humanité, ameutant avec eux une héroine perverse et parfois un être assujetti venant des bas-fonds où traînait de temps à autre Bernard Edwards et un barbu, rejeton dégénéré de Mika Vainio, s’arment de manière impudique dans les marécages d’une banlieue terrifiante et criminelle de Paris, pour l’après post-futur-état apocalytique ! »

facebook de l’évènement
www.linternational.fr

Facebook
MySpace
Email
PrintFriendly


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Radiocampusparis 56703 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte