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Nous étions à PSG-Barça

Publié le 05 août 2012 par Foothese

Nous étions à PSG-BarçaSoirée de gala au Parc avec les vedettes catalanes, le nouveau chouchou Ibra et plein d’informations : Pastore va courir cette année, Sakho sera titulaire dans un mois à la place d’Alex, Ibra va faire plus de contrôle de la poitrine de David Ginola, Messi est un animal et le Barca va battre son record de passes en une saison.

Le PSG avait vu grand pour sa grande rentrée parisienne et a plutôt réussi sa soirée : une ambiance de dingue, du bruit comme aux plus grands matchs, 4 buts dont 2 offerts par le dénommé « Monsieur Enjimi est une salope » après la simulation d’Alexis Sanchez.

Sur le plan du jeu, Paris aura fait jeu égal, ou presque, 10 minutes en début de match puis 15 minutes pour finir la partie. Entre temps, le Barça a évidemment tenu le ballon sans toutefois obtenir des occasions à la pelle. Les catalans s’appuient toujours autant sur Léo Messi qui cherche toujours le coup dur dans les 30 derniers mètres par la passe ou le dribble. Plus qu’une conduite de ball incroyable, Messi voit ce que tous les autres ne peuvent voir, Iniesta et Xavi compris.

On attendait de voir le grand Zlatan et si le suèdois a fait le plein à l’applaudimètre, il n’a pas non plus pu peser sur ce match tant Paris a joué en contre. Que retenir de son match ? Une présence athlétique certaine, des amours de contrôle de la poitrine, un passement de jambes tonique mais surtout des regards très très énervés vers l’ami Nene qui n’a pas gagné de point pour démarrer la saison contre Lorient samedi prochain. Nene dvrait prendre un high kick d’ici 4 semaines. Dans son duel avec Menez pour entourer Lavezzi, volontaire mais brouillon, et Zlatan, le brésilien a sans doute perdu sa chance de débuter comme titulaire.

Pastore a couru

Côté satisfactions, le jeune Rabiot 17 ans n’est pas uniquement remarquable par sa coupe Coridon. Il joue propre, juste, sans complication et a compris une chose aisée : il faut donner le ballon à Zlatan. A revoir au milieu. Toujours au coeur du jeu, Veratti a montré de belles choses et une complicité technique certaine avec Javier Pastore. L’argentin a lui davantage couru hier qu’en une saison. Du pressing, de la volonté, Javier veut clairement marquer son territoire et simplement gagner sa place.

Le PSG n’a pas gagné, n’a pas perdu et a même laisser penser après l’égalisation de Camara sur corner qu’il pouvait battre le géant. Paris reviendra contre des adversaires taille géant en ligue des champions en septembre. Il a pu mesurer le chemin contre la meilleure équipe du monde.

Lech Makaay


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