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Identifier ce que l’on voit en formation plongée avec www.aquadomia.com

Publié le 30 août 2012 par Vincent Defossez

L’école de plongée www.Aquadomia.com propose des formations entièrement sur mesure, du débutant au moniteur en passant par la plongée tek : cursus Tec Rec PADI, Trimix et recycleur CCR. Des professionnels brevetés encadrent des cours de plongée tous niveaux à Marseille dans un cadre convivial, ce qui permet d’aller à la rencontre d’une faune et flore insoupçonnée qu’il est intéressant d’étudier au travers de formation en biologie sous-marine ou naturalisme sous-marin. 

Texte inspiré d’un texte de Hugo fournier que je remercie pour son précieux apport.

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Identifier ce qu’on voit en plongée, un réflexe bien Naturel

C’est quoi ce truc ? Voici la première question posée par le plongeur débutant en sortant de l’eau !

Il est inutile de vouloir aller contre ce réflexe naturel en essayant, par exemple, d’expliquer qu’il est plus logique d’apprendre à trouver les animaux, avant de savoir leur mettre un nom. C’est une question naturelle qui nous rappelle le besoin impératif de connaître le prénom de la personne aimée, le nom du site de plongée, etc. Apprendre à identifier sera donc notre premier cours de BIO ! C’est l’Observation Naturelle.

Il y a Identifier et Identifier !

Le débutant saura reconnaître une seiche ou un poulpe parce qu’il les a déjà vu ailleurs, au cinéma, à la télé ou dans un livre, il ne posera pas de question. Par contre, pour les animaux qu’il découvre, son attention sera focalisée sur leur identification. Par exemple, intrigué par ces « sortes de petits sacs rouge avec deux oreilles » fixés aux rochers, des sacs qui se contractent quand on les touche, il sera très fier de noter sur son carnet de plongée qu’il a vu des ascidies rouge et ne retiendra pas le nom scientifique qu’il lui sera éventuellement donné par un binôme plus expérimenté. « Halocynthia papillosa », c’est un nom amusant mais bien trop compliqué à retenir pour un débutant !

Ce vocabulaire courant, le « langage vernaculaire », est suffisant pour le débutant qui a devant lui une quantité importante de nouvelles connaissances à retenir. Plus tard, ce plongeur, devenu « BIO », ne se contentera plus d’une identification vernaculaire, il voudra puet-être connaître le nom latin de la « bête », avant même de comprendre l’utilité de ce vocabulaire scientifique.

Notre mémoire nous joue des tours, le témoignage humain n’est pas fiable. Pour bien se rappeler ce qu’il a vu, nous recommandons aux débutants de noter quelques détails caractéristiques sur une plaquette. Exemple : la position et la forme d’une tache sur un poisson prêtent à de nombreuses confusions : sur la tête, sur le corps, sur la queue, ronde, rectangulaire ? Aujourd’hui, les appareils numériques étanches deviennent abordables.

Premiers Pas

On connaît maintenant l’importance des premiers soins apportés aux enfants : plus ils sont jeunes et plus c’est délicat. Pour le débutant dans le monde de l’observation de la Vie sous-marine il en va de même : il est souhaitable qu’il ne se contente pas des plaquettes immergeables qu’on trouve dans le commerce, elles seront rapidement « dépassées » et devront laisser la place à une documentation plus complète qu’il trouvera par exemple dans les excellents ouvrages disponibles.

A chaque région son guide : Manche et Atlantique, Méditerranée, mer Rouge et mer des Caraïbes. Chaque guide comporte une première partie qu’il pourra lire et relire à loisir avec beaucoup d’informations sur la vie des animaux et des végétaux de la région concernée : leurs habitudes, leurs habitats, leurs relations. Ensuite, dans une deuxième partie, les photos des différences espèces susceptibles d’être rencontrées sont proposées avec un bref commentaire instructif. Les animaux sont utilement regroupés par ressemblance (on découvre les « Embranchements ») avec quelques lignes et quelques schémas concernant leurs caractères généraux. Il suffit de feuilleter rapidement les pages du guide pour trouver l’image qui convient puis reporter l’identification de l’animal sur le carnet de plongée.

Les autres Solutions

Un excellent moyen pour le débutant consiste à regarder comment font les autres, ceux qui ont de l’expérience, plonger avec eux est toujours un « plus ». Aujourd’hui, une autre solution consiste à suivre des cours ou des stages BIO en mer dans le cadre d’une organisation adaptée. Le plongeur plus expérimenté saura fouiller dans les bibliothèques (Pompidou, Muséum, etc.) ou chercher sur le Net des sites riches en informations gratuites, comme le site DORIS par exemple.

Alors êtes vous convaincu pour effectuer votre stage de formation de plongée sous-marine à Marseille pour y découvrir la biologie sous-marine ? Et pourquoi pas avec www.Aquadomia.com, ce qui est l’occasion de bénéficier d’un savoir-faire reconnu et de l’expertise de moniteurs diplômés en cours particuliers ou mini-groupes aux dates de votre choix !


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