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Critiques Séries : Switched at Birth. Saison 1. Episode 23.

Publié le 05 septembre 2012 par Delromainzika @cabreakingnews

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Switched At Birth // Saison 1. Episode 23. This is the Color of my Dreams.


On arrive enfin dans le dernier tiers de la première saison de Switched At Birth (qui contient tout de même 32 épisodes… autant dire que ABC Family a eu la main légère mais la série a été diffusée comme si elle avait durée 2 saisons). Le seul problème de ce nouvel épisode c'est que la fin est prévisible. En effet, Angelo pourrait finalement être déporté en Italie mais il va parvenir à rester aux Etats-Unis grâce à Regina qui va se marier avec lui. Un mariage de convenance qui devrait lancer une intrigue autour de l'enquête de l'immigration sur le sujet. En tout cas, je sens bien tout ça pour le final de la saison 1. Dans ce nouvel épisode nous reprenons les choses quelques mois après la fin de l'épisode 22. C'est d'ailleurs assez confus. Et je déteste ce genre d'ellipse temporelle car je plains les gens qui regarderons la série en DVD et découvrions ce lapse de temps que l'on découvre uniquement au détour de conversations. Bay est donc de retour du Galapagos avec un nouveau petit ami du doux nom d'Alex.
Elle est amoureuse et elle peut maintenant oublier Emmett (sauf que lui ne l'a pas oubliée). J'ai trouvé la scène où Emmett tente de s'excuser très touchante. On connait déjà le goût de la série pour les scènes tire larmes et l'on fonçait donc droit dans le mur avec celle ci. Un beau moment qui prouve aussi que la série a appris de ses erreurs. Elle n'avait pas arrêtée de mettre ensemble et séparer les deux personnages durant dix bons épisodes du coup, il fallait dire stop à un moment où à un autre. Ce qu'à fait Emmett n'est pas quelque chose de bien et il en paye maintenant le prix cher. Mais il est évidemment qu'un jour ou l'autre, ils retourneront ensemble. Pendant ce temps, Daphne tente de trouver un job dans la cuisine d'un beau et bon restaurant. Sauf qu'elle va se heurter à quelques petits problèmes qui pourraient bien lui faire perdre tous ses moyens. En effet, son chef, incarné par Justin Bruening (très marrant de le retrouver là après la tare qu'était Ringer), est quelqu'un d'intransigeant mais qui sait reconnaitre les efforts (heureusement pour elle qu'elle va savoir ce que c'est que des haricots d'ici la fin de l'épisode).

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Kathryn a du succès, ce qui ne semble pas vraiment plaire à John. En tout cas, les deux personnages ne sont pas les plus intéressants de ce nouvel épisode (bien loin de là même). Je ne sais pas trop où l'on va (si ce n'est vers une séparation). Finalement, Switched At Birth nous offre un épisode plutôt sympathique pour son grand retour. Je ne m'attendais pas à autant apprécier cette suite. En effet, avant cet épisode la série avait plongée dans quelque chose de niais et redondant. Chaque épisode se ressemblait et les intrigues (la peinture par exemple) étaient devenus impossibles à vivre. Globalement, on peut donc dire que Switched At Birth reprend sur de bonnes bases. Cela reste une série avec ses défauts, et je pense notamment au frère de Bay qui commence déjà à m'embêter. Son histoire de groupe de musique l'an dernier m'avait beaucoup déplu. Je n'ai pas hâte de le voir roucouler de nouveau. Qu'attendre de ces derniers épisodes (pour une série renouvelée pour une seconde saison) : du bonheur, quelques larmes et de belles petites intrigues mignonnes.
Note : 6/10. En bref, un retour agréable et joyeux.


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