Quelle rentrée ! Une semaine à peine après la reprise, un bilan de rentrée s’impose. Il y a tant à dire… Un sentiment étrange m’anime depuis lundi dernier. Suis-je devenu fou, totalement inerte ou en total décalage avec les sensations de mes pairs ?
A écouter certains camarades de boisson, à lire ici ou là les chroniques de la presse, à regarder ou à entendre les journaux télévisés ; tout n’est que négativité et volonté -presque concertée- de broyer du noir dans notre société.
Les uns crient leur désespoir des futurs impôts qu’ils auront à payer, d’autres se crispent lorsqu’ils évoquent leur retour au travail quand les derniers s’insurgent contre tout ce qu’ils jugent contraire à la moralité…
Bref, en cette rentrée, il en faut beaucoup pour conserver le moral ! Quelque soit les difficultés, le retour à la difficile vie parisienne ou aux tristes réalités d’une société qui s’égare : c’est juré, mon optimisme ne me fera pas défaut !
Une évidence en période de disette : tout comme pour l’amour, la rigueur s’impose à l’optimisme !
A quoi bon se lamenter ou geindre sur des évènements sur lesquels nous ne disposons d’aucune influence ? Gardons à l’esprit qu’en donnant un écho permanent à la négativité les choses ne risquent en aucun cas de s’arranger.
Par ailleurs, et c’est sans doute là l’essentiel, il est indispensable de préciser que toute la négativité que nous exprimons rejailli en premier lieu sur les gens que nous aimons. Soyons écolos… Ne polluons pas inutilement les esprits…surtout ceux de ceux qui nous écoute. RESTONS POSITIFS !
A la manière de Wally Amos : « Un état d’esprit positif t’aide non seulement à imaginer ce que tu veux être, mais t’aide aussi à le devenir. »
Jeu de briques
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