Magazine Côté Femmes

Une brève du jeudi avec humour bien entendu...

Publié le 20 septembre 2012 par Marigotine

 

Petit doigt pointé:

   Mais grande fermeté....

Fermeté. Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls a reçu mercredi à la mi-journée les représentants français du culte musulman, en pleine tempête après la publication de caricatures de Mahomet par Charlie Hebdo. A l'issue de cette réunion place Beauvau, il a réaffirmé que «la liberté d'expression est un droit fondamental et la liberté de caricature fait partie de ce droit fondamental», expliquant que «les tribunaux sont là pour être saisis par ceux qui se considéreraient comme attaqués, offensés». «Toute manifestation qui vise à troubler l'ordre public, à provoquer, à attiser les esprits, à semer la haine, ne sera pas autorisée. Et j'ai donné consigne à l'ensemble des préfets pour que ces interdictions se traduisent concrètement», a poursuivi le ministre.
Fermeté. Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls a reçu mercredi à la mi-journée les représentants français du culte musulman, en pleine tempête après la publication de caricatures de Mahomet par Charlie Hebdo. A l'issue de cette réunion place Beauvau, il a réaffirmé que «la liberté d'expression est un droit fondamental et la liberté de caricature fait partie de ce droit fondamental», expliquant que «les tribunaux sont là pour être saisis par ceux qui se considéreraient comme attaqués, offensés». «Toute manifestation qui vise à troubler l'ordre public, à provoquer, à attiser les esprits, à semer la haine, ne sera pas autorisée. Et j'ai donné consigne à l'ensemble des préfets pour que ces interdictions se traduisent concrètement», a poursuivi le ministre." title="Une brève du jeudi avec humour bien entendu..." />Fermeté. Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls a reçu mercredi à la mi-journée les représentants français du culte musulman, en pleine tempête après la publication de caricatures de Mahomet par Charlie Hebdo. A l'issue de cette réunion place Beauvau, il a réaffirmé que «la liberté d'expression est un droit fondamental et la liberté de caricature fait partie de ce droit fondamental», expliquant que «les tribunaux sont là pour être saisis par ceux qui se considéreraient comme attaqués, offensés». «Toute manifestation qui vise à troubler l'ordre public, à provoquer, à attiser les esprits, à semer la haine, ne sera pas autorisée. Et j'ai donné consigne à l'ensemble des préfets pour que ces interdictions se traduisent concrètement», a poursuivi le ministre." border="0" />  Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls a reçu mercredi à la mi-journée les représentants français du culte musulman, en pleine tempête après la publication de caricatures de Mahomet par Charlie Hebdo. A l'issue de cette réunion place Beauvau, il a réaffirmé que «la liberté d'expression est un droit fondamental et la liberté de caricature fait partie de ce droit fondamental», expliquant que «les tribunaux sont là pour être saisis par ceux qui se considéreraient comme attaqués, offensés». «Toute manifestation qui vise à troubler l'ordre public, à provoquer, à attiser les esprits, à semer la haine, ne sera pas autorisée. Et j'ai donné consigne à l'ensemble des préfets pour que ces interdictions se traduisent concrètement», a poursuivi le ministre. Crédits photo : Christophe Ena/AP/SIPA/Christophe Ena/AP/SIPA
Dis moi Hillary: T'as pas fait quelque chose à tes cheveux? Une couleur avec des mèches, ou changé de coupe....
En visite. Aung San Suu Kyi, symbole de l'opposition birmane et prix Nobel de la paix, a entamé mardi sa visite historique de deux semaines aux Etats-Unis par une rencontre avec la secrétaire américaine d'Etat Hillary Clinton, nouvelle étape dans la normalisation des relations entre les deux pays. Lors d'un discours prononcé à l'Institut de la Paix de Washington, elle a déclaré que les réformes à l'oeuvre en Birmanie n'avaient levé qu'un «premier obstacle», tout en se disant favorable à un allègement des sanctions imposées par les Etats-Unis. «Nous avons franchi le premier obstacle, mais il y en a beaucoup d'autres à franchir», a-t-elle dit. Ce mercredi, le président des Etats-Unis Barack Obama recevra pour la première fois l'opposante historique birmane et devrait lui remettre en mains propre la médaille d'or du Congrès, une récompense prestigieuse qui lui avait été décernée en 2008.
En visite. Aung San Suu Kyi, symbole de l'opposition birmane et prix Nobel de la paix, a entamé mardi sa visite historique de deux semaines aux Etats-Unis par une rencontre avec la secrétaire américaine d'Etat Hillary Clinton, nouvelle étape dans la normalisation des relations entre les deux pays. Lors d'un discours prononcé à l'Institut de la Paix de Washington, elle a déclaré que les réformes à l'oeuvre en Birmanie n'avaient levé qu'un «premier obstacle», tout en se disant favorable à un allègement des sanctions imposées par les Etats-Unis. «Nous avons franchi le premier obstacle, mais il y en a beaucoup d'autres à franchir», a-t-elle dit. Ce mercredi, le président des Etats-Unis Barack Obama recevra pour la première fois l'opposante historique birmane et devrait lui remettre en mains propre la médaille d'or du Congrès, une récompense prestigieuse qui lui avait été décernée en 2008." title="Une brève du jeudi avec humour bien entendu..." />En visite. Aung San Suu Kyi, symbole de l'opposition birmane et prix Nobel de la paix, a entamé mardi sa visite historique de deux semaines aux Etats-Unis par une rencontre avec la secrétaire américaine d'Etat Hillary Clinton, nouvelle étape dans la normalisation des relations entre les deux pays. Lors d'un discours prononcé à l'Institut de la Paix de Washington, elle a déclaré que les réformes à l'oeuvre en Birmanie n'avaient levé qu'un «premier obstacle», tout en se disant favorable à un allègement des sanctions imposées par les Etats-Unis. «Nous avons franchi le premier obstacle, mais il y en a beaucoup d'autres à franchir», a-t-elle dit. Ce mercredi, le président des Etats-Unis Barack Obama recevra pour la première fois l'opposante historique birmane et devrait lui remettre en mains propre la médaille d'or du Congrès, une récompense prestigieuse qui lui avait été décernée en 2008." border="0" />   Aung San Suu Kyi, symbole de l'opposition birmane et prix Nobel de la paix, a entamé mardi sa visite historique de deux semaines aux Etats-Unis par une rencontre avec la secrétaire américaine d'Etat Hillary Clinton, nouvelle étape dans la normalisation des relations entre les deux pays. Lors d'un discours prononcé à l'Institut de la Paix de Washington, elle a déclaré que les réformes à l'oeuvre en Birmanie n'avaient levé qu'un «premier obstacle», tout en se disant favorable à un allègement des sanctions imposées par les Etats-Unis. «Nous avons franchi le premier obstacle, mais il y en a beaucoup d'autres à franchir», a-t-elle dit. Ce mercredi, le président des Etats-Unis Barack Obama recevra pour la première fois l'opposante historique birmane et devrait lui remettre en mains propre la médaille d'or du Congrès, une récompense prestigieuse qui lui avait été décernée en 2008. Crédits photo : CHIP SOMODEVILLA/AFP Les "Barreaux de la colère"   Les avocats Pakistanais, le "noyeau dur" de la révolte!

Manifestations. Le film dénigrant le prophète musulman continue de susciter des protestations dans le monde. Plusieurs centaines d'avocats pakistanais ont ainsi défilé à Islamabad, rentrant de force dans le quartier de l'ambassade des Etats-Unis et de plusieurs autres représentations diplomatiques situé dans la capitale. Ils ont scandé des slogans anti-américains, réclamé l'expulsion de l'ambassadeur et brûlé un drapeau après avoir forcé un portail leur donnant accès à l'enclave diplomatique. Ils ont été stoppés par la police, puis se sont dispersés dans le calme. Cette manifestation intervient après trois jours de violences au Pakistan qui ont fait deux morts. Au total, au moins 30 personnes ont été tuées dans sept pays, dans des violences liées à ce film.
Manifestations. Le film dénigrant le prophète musulman continue de susciter des protestations dans le monde. Plusieurs centaines d'avocats pakistanais ont ainsi défilé à Islamabad, rentrant de force dans le quartier de l'ambassade des Etats-Unis et de plusieurs autres représentations diplomatiques situé dans la capitale. Ils ont scandé des slogans anti-américains, réclamé l'expulsion de l'ambassadeur et brûlé un drapeau après avoir forcé un portail leur donnant accès à l'enclave diplomatique. Ils ont été stoppés par la police, puis se sont dispersés dans le calme. Cette manifestation intervient après trois jours de violences au Pakistan qui ont fait deux morts. Au total, au moins 30 personnes ont été tuées dans sept pays, dans des violences liées à ce film." title="Une brève du jeudi avec humour bien entendu..." />Manifestations. Le film dénigrant le prophète musulman continue de susciter des protestations dans le monde. Plusieurs centaines d'avocats pakistanais ont ainsi défilé à Islamabad, rentrant de force dans le quartier de l'ambassade des Etats-Unis et de plusieurs autres représentations diplomatiques situé dans la capitale. Ils ont scandé des slogans anti-américains, réclamé l'expulsion de l'ambassadeur et brûlé un drapeau après avoir forcé un portail leur donnant accès à l'enclave diplomatique. Ils ont été stoppés par la police, puis se sont dispersés dans le calme. Cette manifestation intervient après trois jours de violences au Pakistan qui ont fait deux morts. Au total, au moins 30 personnes ont été tuées dans sept pays, dans des violences liées à ce film." border="0" />  Le film dénigrant le prophète musulman continue de susciter des protestations dans le monde. Plusieurs centaines d'avocats pakistanais ont ainsi défilé à Islamabad, rentrant de force dans le quartier de l'ambassade des Etats-Unis et de plusieurs autres représentations diplomatiques situé dans la capitale. Ils ont scandé des slogans anti-américains, réclamé l'expulsion de l'ambassadeur et brûlé un drapeau après avoir forcé un portail leur donnant accès à l'enclave diplomatique. Ils ont été stoppés par la police, puis se sont dispersés dans le calme. Cette manifestation intervient après trois jours de violences au Pakistan qui ont fait deux morts. Au total, au moins 30 personnes ont été tuées dans sept pays, dans des violences liées à ce film. Crédits photo : AAMIR QURESHI/AFP Moi pour les 47%... Je les chope je leur serre le quiqui et je les fais cracher au bassinet !    Pas content le milliardaire....
Embarrassé. La campagne de Mitt Romney (ici photographié à Costa Mesa) a essuyé un nouveau coup de tabac lundi soir quand le candidat républicain à la Maison blanche a fustigé, dans une vidéo manifestement filmée à son insu, 47% des électeurs américains acquis, selon lui, à Barack Obama parce qu'ils «ne payent pas d'impôts» et considèrent qu'ils sont des «victimes» dont l'Etat seul doit assumer la charge. La date de l'événement n'a pas été précisée et seul le candidat républicain à la présidentielle est reconnaissable à l'écran, le reste de la scène étant flouté. L'authenticité de la vidéo n'a pu être établie mais la voix de l'orateur semble bien être celle de Mitt Romney. La publication de cette vidéo intervient à 50 jours du scrutin du 6 novembre, alors que M. Romney accuse un retard dans les sondages et que des médias font état de querelles au sein de son équipe de campagne.
Embarrassé. La campagne de Mitt Romney (ici photographié à Costa Mesa) a essuyé un nouveau coup de tabac lundi soir quand le candidat républicain à la Maison blanche a fustigé, dans une vidéo manifestement filmée à son insu, 47% des électeurs américains acquis, selon lui, à Barack Obama parce qu'ils «ne payent pas d'impôts» et considèrent qu'ils sont des «victimes» dont l'Etat seul doit assumer la charge. La date de l'événement n'a pas été précisée et seul le candidat républicain à la présidentielle est reconnaissable à l'écran, le reste de la scène étant flouté. L'authenticité de la vidéo n'a pu être établie mais la voix de l'orateur semble bien être celle de Mitt Romney. La publication de cette vidéo intervient à 50 jours du scrutin du 6 novembre, alors que M. Romney accuse un retard dans les sondages et que des médias font état de querelles au sein de son équipe de campagne." title="Une brève du jeudi avec humour bien entendu..." />Embarrassé. La campagne de Mitt Romney (ici photographié à Costa Mesa) a essuyé un nouveau coup de tabac lundi soir quand le candidat républicain à la Maison blanche a fustigé, dans une vidéo manifestement filmée à son insu, 47% des électeurs américains acquis, selon lui, à Barack Obama parce qu'ils «ne payent pas d'impôts» et considèrent qu'ils sont des «victimes» dont l'Etat seul doit assumer la charge. La date de l'événement n'a pas été précisée et seul le candidat républicain à la présidentielle est reconnaissable à l'écran, le reste de la scène étant flouté. L'authenticité de la vidéo n'a pu être établie mais la voix de l'orateur semble bien être celle de Mitt Romney. La publication de cette vidéo intervient à 50 jours du scrutin du 6 novembre, alors que M. Romney accuse un retard dans les sondages et que des médias font état de querelles au sein de son équipe de campagne." border="0" />  La campagne de Mitt Romney (ici photographié à Costa Mesa) a essuyé un nouveau coup de tabac lundi soir quand le candidat républicain à la Maison blanche a fustigé, dans une vidéo manifestement filmée à son insu, 47% des électeurs américains acquis, selon lui, à Barack Obama parce qu'ils «ne payent pas d'impôts» et considèrent qu'ils sont des «victimes» dont l'Etat seul doit assumer la charge. La date de l'événement n'a pas été précisée et seul le candidat républicain à la présidentielle est reconnaissable à l'écran, le reste de la scène étant flouté. L'authenticité de la vidéo n'a pu être établie mais la voix de l'orateur semble bien être celle de Mitt Romney. La publication de cette vidéo intervient à 50 jours du scrutin du 6 novembre, alors que M. Romney accuse un retard dans les sondages et que des médias font état de querelles au sein de son équipe de campagne. Crédits photo : NICHOLAS KAMM/AFP

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LES COMMENTAIRES (1)

Par Gerarddu78
posté le 28 septembre à 21:25
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De la fermeté, Valls ? C'est plutôt un oxymore si vous voyez ce que je veux dire...