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Sauvage de Nina Bouraoui et Il était une fois, l’Algérie de Nabile Farès, clap de fin de la selection du Prix Océans

Par Mpidelph @MPIDelph

Sauvage de Nina Bouraoui et Il était une fois, l’Algérie de Nabile Farès, clap de fin de la selection du Prix Océans

Sauvage de Nina Bouraoui et Il était une fois, l’Algérie de Nabile Farès, clap de fin de la selection du Prix Océans
Alya a 14 ans en 1979 à Alger. Son ami d’enfance Sami a disparu depuis maintenant un an. Alya écrit ses ressentis, ses peurs, ses angoisses. Elle tente par l’écrit de mettre des mots sur des sensations et des sentiments qui la troublent et la laisse parfois sans réponse. Alya nous narre aussi son pays, l’Algérie, mais sans que cela en fasse un livre invitant au voyage et à la découverte. 1980, l’année de tout les fantasmes et changements approche, et Alya, encore enfant par certains points, semble à la fois effrayée et fascinée par ce qui pourrai se passer. Ce long monologue nous perd parfois comme pour mieux symboliser le fil des pensées et les divagations de l’esprit mais rend la lecture parfois ardu.  Bien que Alya grandisse au fil du livre et parvienne à faire un travail sur elle-même notamment concernant sa peur de l’avenir j’ai eu du mal à me passionner pour ses émois adolescent. Je n’aime en général pas les livres dont le personnage principal est un enfant où un adolescent et celui-ci ne fait pas exception. Je n’arrive pas à me projeter dans ce type de personnage et étant peu attirée par les enfants je ne ressens que peu d’empathie envers eux. La relation avec Sami qu’elle nous conte m’a paru très enfantine entre amour, amitié et haine.

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♦ Sauvage de Nina Bouraoui

Editeur : Stock

ISBN : 978 2 234 06439 3

Parution : mai 2011

Prix : 18,50 €

Pages : 236

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Sauvage de Nina Bouraoui et Il était une fois, l’Algérie de Nabile Farès, clap de fin de la selection du Prix Océans
Ce livre…. m’est littéralement tombé des mains ! Et cela est rare ! En général je trouve tout de même un élément qui permet de trouver un sens à ma lecture, une petite étincelle positive mais ici non. Le texte est confus, ce n’est n’y un conte ni un roman mais des amoncellement de bout de phrase. Cela aurait pu être  un exercice de style auquel cas il faut fournir au lecteur des pistes. Dans la seconde moitié du livre même la ponctuation n’a plus de sens !

J’ai lu des phrases et des phrases qui ne m’ont rien raconté, m’ont perdu. Un foutraque d’événements politiques et historiques semblant avoir un lien, tiré par les cheveux, avec le martyr de Selma une femme disparue.

J’aimerai avoir des explications à vous fournir, des arguments mais malheureusement je suis restée complétement hermétique à ce livre aussi bien que fond que la forme.

Lors de la réception des livres j’avais mis celui-ci de coté sa couverture et sa typographie m’attirant peu et bien quel bouquet final !

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♦ Il était une fois, l’Algérie de Nabile Farès

Editeur : Editions Achab

ISBN : 978 9947 972 07 6

Parution : 2010

Prix : NC

Pages : 158

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Je retiens 2 titres des 12 lus dans le cadre de ce prix :

Tangente vers l’est de Maylis de Kerangal qui fut un belle découverte et Rêves oubliés de Léonor de Recondo, un immense coup de coeur !


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