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Défi à relever : ne partez pas sans lui !

Publié le 25 octobre 2012 par Moralotop @moralotop

Défi à relever : ne partez pas sans lui !

Défi à relever : ne partez pas sans lui !

Défi à relever : ne partez pas sans lui !

Les années passent, les défis restent.

Bientôt le 1er novembre.

Dès demain soir, des millions de personnes vont se déplacer.

Et le défi proposé n’en est que plus beau.

Lequel ?

Laissez-moi vous faire mijoter un peu.

Et puis non, il est si beau que je vous le livre maintenant ce défi à relever.

Condition de départ, c’est le cas de le dire, vous voyagez.

A cheval, en train, en bateau, en avion, à dos d’âne, en cordée, bref, vous vous déplacez.

Pour tous motifs et à toutes périodes.

Le défi :

Serez-vous capable de renoncer au sempiternel, à l’incontournable :

On t’appelle quand on est bien arrivés ?

Eh oui, c’est bien lui, la Rolls des défis.

Il est aussi ancré en nos habitudes que les défaites des joueurs français de tennis.

C’est dire qu’il est costaud, le bougre.

Ce défi à relever est d’autant plus difficile à atteindre que On t’appelle quand on est bien arrivés repose sur un sympathique fondement : l’envie de rassurer.

Oui mais…

Mais s’il est nécessaire de rassurer c’est qu’il y a des inquiétudes, du stress, crées par le déplacement prévu.

D’où la question :

Pourquoi devrait-on stresser du simple fait qu’on voyage ?

On touche là à l’irrationnel.

Au poids des croyances et habitudes.

Car sur les millions de déplacements à venir ces jours-ci, combien se termineront dans la douleur ?

Pas plus de 0,01%, sans doute bien moins.

C’est encore trop, bien sûr.

Mais se transmettre comme un héritage inaliénable cette fameuse phrase : On t’appelle quand on est bien arrivés  (à décliner selon votre situation de famille) n’aboutit qu’à une chose :

alimenter peurs, stress et moral à plat

Sans raison valable.

De génération en génération.

 D’où le défi à relever.

A l’occasion du 1er novembre (ou de tout autre déplacement) allez-vous tordre le coup à cette vieille habitude ?

Pour réussir ce challenge, inversez les données du problème.

Désormais, vous considérez que :

1 ) Par principe, vous voyagez et arrivez sans souci.

2 ) Seule, une situation exceptionnelle justifie un coup de fil.

3) Vous ferez volontiers un coucou à votre belle mère, à vos amis ou autres, le lendemain de votre voyage et non le jour même.

Waouuhhh… pas facile ?

Sans doute.

Mais les avantages à relever ce défi sont nombreux.

1) 99,9% des gens éliminent une inquiétude infondée.

2) Se l’épargnant à eux-mêmes, ils l’épargneront à leurs enfants.

3) La bonne habitude remplaçant la mauvaise, une source importante de soucis disparaîtra progressivement du paysage

Cntribuant à améliorer le moral général des Français.

Chers lecteurs, je me prépare.

Je me prépare à recevoir vos commentaires du type :

Tu as raison, mais c’est trop tard pour changer maintenant.

Ou : C’est vrai, mais bon, ça rassure quand même.

Ou encore : Moi je suis d’accord, mais c’est Grand mamie qui ne comprendrait pas

J’entends tout cela.

Et il faut bien composer avec les habitudes des autres.

Mais laissez-moi tout de même vous inviter à modifier celle-ci.

Réussir ce challenge, c’est diffuser un peu de sérénité.
Dans une société qui en manque singulièrement.

Alors ce défi à relever…c’est oui ?

Allez-vous supprimer de votre vocabulaire l’illustre On t’appelle quand on est bien arrivés ?

Chers lecteurs, dites-moi tout !

Et… bon voyage :)

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