Ce qu'il ne faudrait jamais regretter...

L'approche de la Toussaint m'a donné l'envie de relire et partager la présentation de ce livre, parue dans "Clés" d'avril.
La journaliste Djénane Kareh Trager a lu et commenté le livre de l'australienne Brownnie Ware "The top five regrets of the Dying" ("Les cinq plus grands regrets des mourants"), un ouvrage publié en anglais - et non encore paru en France.
Cette accompagnatrice en soins palliatifs a écouté avec pudeur ceux qui s'apprêtent à quitter l'existence et a recensé les cinq principaux regrets qu'ils expriment - une émouvante leçon de vie :

Regret n° 1 : "J'aurais souhaité avoir le courage de vivre la vie que je voulais, non pas celle que les autres attendaient de moi."
Regret n° 2 : "J'aurais souhaité ne pas avoir autant travaillé."
Regret n° 3 : J'aurais souhaité avoir le courage d'exprimer mes sentiments."
Regret n° 4 : "J'aurais souhaité rester en contact avec mes amis."
Regret n° 5 : "J'aurais souhaité m'autoriser à être plus heureux."
La lecture de cet article s'avère plus stimulante que triste, et donne la furieuse envie de rattraper le temps perdu, avant qu'il ne soit trop tard... De peur de soupirer, comme Colette : "Quelle vie merveilleuse fut la mienne, si seulement je m'en étais rendue compte plus tôt !".

Bonnie Ware est aussi artiste, chanteuse et poète. Découvrez son site ici.