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Entrepreneuship, mentorat et l’avenir économique du Québec

Publié le 15 novembre 2012 par Raymondviger

En tant qu’entrepreneur (autant privé que communautaire), mes oreilles sillent toujours quand j’entends tous ces discours sur le mentorat et l’entrepreneurship.

Peut-on former des entrepreneurs ou devons-nous favoriser l’entreprenariat? Est-ce que le piff d’un entrepreneur, son courage, son adrénaline pour relever des défis… est-ce que tout cela peut s’enseigner quelque part?

Parce qu’un entrepreneur doit être ouvert et capable de prendre des conseils à plus d’un endroit. Parce qu’un mentor qui connaît tout, ça n’existe pas.

Et surtout, parce que c’est l’entrepreneur qui demeure responsable des conséquences de ces gestes, de ce qu’il conservera comme philosophie, comme vision pour son entreprise.

Pierre Péladeau

J’ai eu la chance d’avoir plusieurs échanges très intéressants avec Pierre Péladeau. Avec tout ce que j’ai appris avec Pierre Péladeau, je considère qu’il aura été mon mentor. Mais Pierre Péladeau ne l’a jamais su. Parce que nous parlions business pour un projet bien spécifique. Il ne s’est jamais présenté comme un mentor. C’est par la qualité de nos échanges qu’il a pu le devenir.

Et Pierre Péladeau n’aura pas été le seul. D’autres, moins prestigieux, m’auront apporté de belles connaissances et de belles trouvailles. Parfois des clients, des fournisseurs, des employés ou encore par le pur hasard d’une rencontre. Dans tous les cas, c’est quand on est prêt à écouter, que l’on peut trouver. Et c’est une des belles choses que j’aurais apprises de Pierre Péladeau.

Peut-on et doit-on formaliser la magie de ces instants de mentorat naturel?

Pierre Péladeau, le mentor

Entrevue de Pierre Karl Péladeau.


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