Magazine High tech

Pourquoi je ne rejoue (presque) jamais à mes jeux-vidéo

Publié le 30 décembre 2012 par Tiza

Le petit Papa Noël a été bien généreux avec moi cette année. Il a bien lu tous mes Tweets amoureux à propos de Mass Effect et a donc décidé de m’offrir ceci:

Pourquoi je ne rejoue (presque) jamais à mes jeux-vidéo

The Art of the Mass Effect Universe

Bonne chose, ça montre donc que le petit Papa Noël à un système de veille social media au top! Bref, trêve de mauvaises blagues, et revenons à nos moutons.

C’est donc un thé Earl Grey en main que je feuillette mon jouli livre tout en caressant sa côte et en retrouvant avec nostalgie mes amis Thane, Garrus et Liara que j’avais laissé en sauvant le monde des « Reapers » il y a quelques mois de ça. (Ces personnages sont donc issus de la saga de Mass Effect, pour ceux que j’aurais perdu en route…) Et là je me suis dit (comme je me dis souvent quand je suis nostalgique d’un jeu que j’ai adoré): « Et si je m’y remettait? Et si je retrouvais Shepard et toute sa bande?!« . 

Pourquoi je ne rejoue (presque) jamais à mes jeux-vidéo
Allez, vacances de Noël et larvage ultime aidant, je relance le jeu: Mass Effect premier du nom. Au premières notes du « Press Start » je frémis, je sautille intérieurement et arrivée sur la console de création de personnage je… et bhah je crée exactement le même personnage. Merde. Bon. Et si je faisais un mec cette fois-ci? Allez. Un Monsieur Shepard ce sera! Pfiouh, dur.

Le jeu se lance, et arrivent les premières interactions et les premières actions: je saute les cinématiques - déjà vues. Je choisis les mêmes actions - bhah oui, si j’ai choisi ça la première fois, ce n’est pas pour rien.  Je bâcle les explorations en Mako - perte de temps.

Bref, après 3h de jeu j’en ai déjà marre, et j’éteins. Est-ce que ça veut dire que mon amour pour Mass Effect n’était qu’illusion? Est-ce que ça veut dire que je ne suis qu’une pseudo fan comme toutes ces pseudo gameuses qu’on voit fleurir petit à petit sur le net? Autant aller préparer le câble d’alimentation pour aller me pendre.

A vrai dire, ça m’avait déjà fait le coup (et brisé le coeur) quand j’ai voulu rejouer à Dragon Age il y a quelques mois (Alistair me manquait vraiment), et là encore cet après-midi

Pourquoi je ne rejoue (presque) jamais à mes jeux-vidéo
encore en voulant refaire des missions de Dishonored (en mode no-kill, j’ai tenu 3 minutes). Et je me suis rendue compte que je ne vis pas forcément le jeu-vidéo de la même façon que la masse, ou de la personne lambda qui est à sa 4ème partie de Mass Effect.

Quand je joue à un jeu qui me plaît vraiment, je le vis, je le découvre: et c’est cette découverte que je trouve exaltante et passionnante. Et une fois un jeu terminé, cette découverte est passée, et donc l’attrait que j’avais pour ce jeu amoindriOn peut ajouter à côté de ça que j’ai une pile obscène de jeux qui n’attendent qu’à être joués et que je n’ai pas forcément le temps non plus.

J’adorerais re-tomber amoureuse d’Alistair, re-découvrir Oméga pour la première fois, sauver Thane ou réussir à faire mon fameux no-kill. Mais… Mais non. Je me fais à l’idée, je fais mon deuil, et je vais juste me donner l’opportunité et le temps de découvrir de nouveaux héros, de nouvelles histoires et de nouvelles sagas de pixels: parce que le jeu-vidéo, c’est ça aussi.

Ceci dit, je vais quand même probablement me prendre la trilogie de Mass Effect sur PS3, juste pour la collec ^_^

Pourquoi je ne rejoue (presque) jamais à mes jeux-vidéo


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Tiza 123 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazine