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Critiques Séries : The Transporter - The Series. Saison 1. Episodes 9 et 10.

Publié le 04 janvier 2013 par Delromainzika @cabreakingnews

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The Transporter - The Series // Saison 1. Episodes 9 et 10. Diamants de sang / La main invisible.


The Transporter continue donc son bout de chemin sans être réellement la série qui me fait le plus d'effet. Dans un genre similaire, bien d'autres séries m'ont beaucoup plus plu. Mais ce n'est pas grave, je trouve malgré tout qu'il y a de bonnes choses dans The Transporter si l'on cherche bien (et si l'on a envie de chercher bien évidemment). Je pense notamment au personnage de Delphine Chanéac. Franchement, je ne m'attendais pas à ce qu'elle soit une fétichiste de Frank Martin. Se caressant sur la voiture du Transporteur comme si elle n'avait pas d'autre moyen de se faire plaisir. Franchement, tout cela me dépasse tellement que je ne dois pas voir la subtilité du jeu d'actrice de Delphine Chanéac. Car le personnage de Juliette Dubois, présenté comme ambigu au début, fini maintenant par devenir grotesque et sérieusement dérangé. Je ne vois pas ce qu'elle apporte non plus à la série de manière générale si ce n'est des scènes complètement sorties de leur contexte. Un peu comme l'introduction de "Diamants de sang" qui sert plus de bouche trou où l'on voit Frank essayer sa voiture dans un parking.
Cette série est un enchainement de scènes de ce genre là, et d'une folle hilarité. Je pense que c'est justement pour cela que je continue de regarder The Transporter. Mais surement aussi pour les répliques assez funs de Frank (même si c'est très loin de coller au personnage de Frank dans les films avec Statham). Mais The Transporter c'est une série assez mauvaise dans le sens où plus on regarde d'épisodes, plus tout ce qu'il y a de mauvais nous saute à la figure. C'est un vrai retour de flammes innatendu et surtout violent. Dans "Diamants de sang" par exemple nous suivons Frank à Toronto. Mais bien évidemment il est attaqué par de faux convoyeurs et se retrouve inopinément enfermé dans le bâtiment. Il va alors faire la rencontre de Heather, une jeune femme agent de sécurité du bâtiment qui le soupçonne d'être responsable de ce braquage. Car très souvent, The Transporter ne sait pas quelle direction emprunter et utilise alors des femmes fatales sans aucun charisme pour nous agiter la nouille pour oublier que les défauts existent.

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Car bien évidemment, encore une fois nous allons avoir une jeune femme pour aider Frank. Ce sera cette fois Christine Tizzard (La Secte, La vie selon Annie), une actrice assez limitée mais qui ravira la gente masculine à coup sûr, blonde comme elle est. L'épisode, écrit par un scénario de Primeval ou encore MI:5 n'avait rien de ces deux séries. Je ne comprends pas comment The Transporter peut être aussi allemande dans l'âme et donc dégueulasse au rendu. J'en suis venu à me demander alors pourquoi The Transporter était aussi étrange. Je suppose qu'il doit y avoir un cahier des charges assez lourd avec des quotas : des scènes de combat, des scènes de voiture, des scènes sexy et des scènes inutiles là pour faire le gros de l'histoire. C'est un peu le gros souci de The Transporter finalement. S'en suivait "La main invisible". Dans cet épisode, Frank attend patiemment la livraison de son colis sur un parking de Toronto.  Rapidement il va se rendre compte qu'il est tombé dans un piège.  Du coup, il va finir par se faire arrêter par la police. Les quelques répliques sensées être drôle de Frank étaient efficaces et c'est uniquement pour cela que je n'ai pas trouvé l'épisode lourdingue.
Cette histoire était bien moins intéressante que celle de l'épisode précédenrt et ce qui m'agace encore une fois c'est le fait que Tarconi ne sert strictement à rien mis à part dire une phrase dans un épisode de 40 minutes. Il fait donc parti intégrante du bouche trou de The Transporter. Mais bon, il faut faire avec. Cette fois c'est à la belle Apollonia Vavnova (Watchmen) et à Elyse Mason (Degrassi nouvelle génération) que The Transporter fait appel pour séduire le téléspectateur mâle. Finalement, rien de bien nouveau sous le soleil encore une fois. Il ne se passe strictement rien ou presque et c'est tout ce que je trouve justement très décevant dans cette série.
Note : 4/10 et 3/10. En bref, toujours aussi approximatif.


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