Hardcore

Je rue dans les brancards,crache sur l'immonde de ce Monde.

La chasse aux cons est ouverte,je lance les hostilités sans pitié.

Que les amoureux du foot ,j'entends par là,les pantouflards devant leurs télés,bières et chips,les fous des stades,

les adorateurs du ballon rond;ceux qui se battent pour une équipe,un footballeur,aillent se faire foutre!

Ils me font penser aux jeux des gladiateurs,du pain et des jeux pour le peuple!

Ils adulent un mec, une équipe, qui gagne plus qu'un grand nombre d'individus réunis.

Des salaires indécents,des coût de transferts de joueurs,exorbitant,  le tout acclamé ,encouragé par des cons,tout sauf sportifs!

C'est une machine à fric, qui se fout de la gueule des supporters,insupportable vérité,comme un ballon que je vous jette à la tronche,vous les "sportifs".

Pourquoi me retiendrais-je,vous qui ne vous retenez pas de vous bastonner entre vous ,comme

des chiens pour une balle,alors je vous le dit vous ne valez que dalle,peau de balle!

Pas de pitier pour les ceux qui font du business sur la pauvreté comme toile de fond .

Pas de pitier pour les usuriers,les banquiers,l'état de non droit, les politicards corrompus,tocards, grands voleurs jamais inquiétés!

Vos messes basses puent comme vos discours hypocrites,vous faites les lois mais vous êtes au-dessus.

Votre morale à deux balles,est comme votre incompétence,messieurs le politichiens!

Aussi inconséquente,qu'insouciante de vos citoyens.

Si l'on commençait par remplir les prisons des vrais voleurs,vous en l'occurrence!

On pourrait respirer un peu plus librement malgré votre pollution par votre présence,par vos actes

destructeurs ayant une vision à court terme;vous ne vous souciez que de vos petites gueules égoïstes,bande d'abrutis que vous êtes!

Il y a encore de trop nombreux cons pour participer à votre mascarade,à voter pour vous,

à participer à votre pseudo démocratie.

Trop de cons,de moutons emprisonnés pour une soit disant liberté; à crédit,trop de gus sacrifiant

leurs vies ,leurs jeunesses pour vivre vieux et heureux?

Tu bosses comme un esclave pour une maison,qui ne sera jamais vraiment tienne,pour une boîte

de conserve te servant de voiture dont tu es fier,pour une télé plus grande que celle du voisin,

pour des objets que tu crois posséder mais qui te possède.

Profites-en,c'est les soldes,va dépenser ton salaire de misère,dépense-toi  pour dépenser.

Va bosser pour ta liberté de consommer;ferme là et soit un homme pour ta femme consommatrice.

Ta vie n'est qu'une histoire de con,mais quand t'en rendras-tu compte? Le jour de tes funérailles;

tu es le gogo,le dindon de la farce, le larbin de service,la marionnette de ces messieurs.

Je  vais me faire bien des ennemis,par ces quelques lignes révélatrices de mon esprit ,mais je m'en fiche.

Salutations.

Boris.