Press start

Ok ce n’est pas mon genre. Je ne suis ni agent commercial, ni prosélyte de quoi que ce soit. Mais si j’écris ces articles c’est pour passer des infos et parfois mais très rarement pour militer. Pour faire vaciller le schmilblick.

Là le sujet est épais et je ne détiens que trop peux d’éléments pour vous apporter la lumière nécessaire pour vous faire hurler de rage devant cette infamie que l’on fait passer pour du mysticisme fantasmé. Comme je l’écris à mes amis « je me fou de tout et de tout le monde », mais je ne peux pas laisser le sujet de la pédocriminalité au niveau du fait divers des chiens écrasés. J’en ai les tripes qui pendent. Les synapses en overload. Mon jugement vacille. J’en ferais mon dernier humble combat avant de crever.
Il faut parfois se déterminer. C’est le premier pas vers l’action.

Si vous approuvez, je vous propose cordialement de vous déterminer avec moi, avec nous sur ce blog comme base, en vous exprimant honnêtement, sincèrement, en montrant votre solidarité avec ce modeste mouvement vertueux de réaction anti-pédocriminalité.

L’avenir nous conduira à la construction de l’édifice d’une action authentique sans autre prétention que l’information honnête pour favoriser la protection des enfants.

Comme écrit en intro je ne suis pas un maquignon et le seul intérêt que j’ai à vous conseiller de lire l’ouvrage de Gilbert Abas, c’est de vous permettre d’accéder aux données « encyclopédiques » nécessaires pour vous forger un jugement solide sur la situation catastrophique, acteurs et complices,  de nos élites et institutions face à la pédocriminalité. C’est une question de salubrité publique. « Aidons nous ! »

Procurez-vous « Qui veut encore tuer le Christ ? » comme première base de connaissance et on en reparlera. Si votre esprit volontaire est capable d’intégrer ce niveau de perversion innommable, indescriptible car malheureusement bien réel.

Parallèlement vous avez le site PEDOPOLIS qui fourni de la matière :
Une liste des ouvrages…
Une liste des affaires…
Une liste de ceux qui en parlent (on y est pas encore ! )

Avec ça vous avez de quoi faire.

Et moi je vais essayé d’être moins sérieux.

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