Dentelles au vent

Je voudrais revenir sur cette chanson de de Renan Luce, "les Voisines", afin de lui apporter mon docte éclairage. Le quidam se plaint en effet que le sèche-linge le prive de la contemplation des dessous qui l'inspirent : 

"
J’ai toujours préféré aux voisins les voisines
Qui sèchent leurs dentelles au vent sur les balcons
C’est un peu toi qui danse quand danse la mousseline
Invité au grand bal de tes slips en coton
De ma fenêtre en face, j’caresse le plexiglas
Je maudis les méninges inventeurs du sèche-linge
Plus de lèche vitrine a ces cache-poitrine
J’ai toujours préféré aux voisins les voisines
"

Vous avez remarqué comme la rime est riche ? je sais, on n'est pas là pour un commentaire littéraire, y'aurait sans doute matière, mais passons. A l'essentiel.

Il y a là une erreur typiquement masculine, car la moindre pépette péroxydée, la moindre gourgandine évaporée, la moindre hurluberlue à frange sait dès sa naissance et  jusqu'au plus profond de ses os que la lingerie NE PASSE PAS AU SECHE-LINGE !!! 

Cette note aussi pour vous prouver que je tiens mes promesses électorales.

Voici la preuve que j'ai bien "enlevé le haut"... pour le laver.

Rassure-toi Renan, ça ondule toujours en live sur mon fil.   Bon. C'est pas tout ça. J'ai lu quelque part que pour être un blogueur sérieux, il fallait terminer ses notes par une question, une ouverture (rien de nouveau sous le soleil depuis mes cours au lycée, en fait)... ,   Alors, messieurs, euh ... slip ou caleçon ?  

 Grave comme je le fais trop bien, l'ouverture, hein ?