Magazine Culture

Contre l'esclavage, pour la liberté

Publié le 23 janvier 2013 par Anargala

Je considère l'islam comme l'idéologie la plus dangereuse pour l'avenir de la civilisation.-Pour autant, suis-je raciste ?Non, car les Musulmans ne sont pas une race, et ils sont parmi les premières victimes de l'islam.-Mais dire qu'il y a des religions plus dangereuses que d'autres, n'est-ce pas prôner un repli identitaire ?Non. Pour ma part, mon jugement sur l'islam n'est pas motivé par la notion d'identité ethnique ou nationale. Si Mahomet était né dans le Berry, mon jugement serait le même. Simplement, les religions théistes sont plus violentes que les religions athées ; les religions abrahâmiques sont les plus violentes des religions théistes ; et l'islam est la plus violente des religions abrahâmiques. C'est un fait. -Mais derrière ces critiques sur l'islam, n'y a-t-il pas une peur de l'immigration ?Oui et non. Il se trouve que la France est le pays d'Occident qui accueille la plus importante population musulmane. Et que cette population est, n'en déplaise à beaucoup, responsable de beaucoup d'actes de violence et d'incivilités, davantage que les autres populations d'origine immigrées récentes. Mais ce n'est pas le motif de mon jugement négatif sur l'islam. Si les "jeunes des cités" cessaient demain leurs exactions, cela ne changerait rien au danger que représente le totalitarisme islamique. Ce danger serait même plus grand, car l'image de l'islam en sortirait renforcée. Il ne fait guère de doute cependant qu'il y a un lien entre violences dans les cités et violences islamiques. Mais il ne faut pas se tromper de priorité. Les "jeunes des cités" sont des victimes de l'islam. Et le devoir de la République est de les affranchir de cet esclavage intellectuel, comme elle l'a fait pour les Chrétiens. La liberté de conscience est à ce prix - dois-je rappeler que dans les "républiques" islamiques, abandonner l'islam au profit d'une autre religion ou de l'agnosticisme est passible de la peine de mort ? Qui pense à ces centaines de millions de femmes, d'hommes et d'enfants privés de leurs droits élémentaires ?-Mais critiquer ainsi l'islam, n'est-ce pas rejeter le multiculturalisme et tout ce qu'il a de fécond pour l'humanité ?Non, je ne rejette pas le multiculturalisme ; je rejette seulement le projet politique contenu dans le Coran, les hadiths et les vies de Mahomet. Oui aux cultures arabes, berbères, indiennes, turques, etc., dès lors qu'elles sont compatibles avec les Droits de l'Homme. Non au culte de la Mort.-Mais condamner ainsi l'islam, sans le distinguer de l'islamisme et du jihadisme, n'est-ce pas oublier que de nombreux Musulmans sont choqués par les violences  perpétrées au nom de l'islam ?Non. Posez-vous la question : les Musulmans modérés sont-ils modérés à cause de l'islam, ou bien en dépit de l'islam ? Autre question : quand on bafoue l'honneur de leur soi-disant "prophète", on voit des Musulmans, même modérés, appeler au meurtre ou à la création dans les pays libres d'une loi sur le blasphème (comme le Recteur "modéré" de la Mosquée de Paris l'a demandé). Mais quand, chaque jour, des crimes sont perpétrés au nom d'Allah et inspirés par l'exemple de Mahomet, où sont donc les Musulmans "modérés" ? Les Musulmans modérés sont modérément dangereux. C'est tout, et c'est déjà bien assez pour s'en inquiéter.-Mais accuser l'islam, n'est-ce pas oublier les facteurs économiques et historiques du terrorisme ?Non. Le terrorisme n'est pas une conséquence du colonialisme, de la pauvreté ou d'un manque d'éducation de base. Les Vietnamiens ne se font pas exploser aux quatre coins du monde. Pourquoi ? Parce qu'ils ne croient pas aux sornettes du Coran. Ben Laden était pauvre ? Il connaissait Saint-Barth mieux que moi ! Les kamikazes du 11 septembre étaient illettrés ? Vaste blague ! Ils étaient diplômés pour la plupart et avaient un travail en Occident. Non, les lâches ont beau chercher mille excuses aux terroristes, il suffit, pour comprendre les mobiles de ces assassins, de les écouter : ils agissent au nom d'Allah et à l'exemple du Prophète, "la paix soit sur lui" (et la guerre sur les autres !).-Mais condamner ainsi l'islam en bloc, n'est-ce pas oublier la richesse spirituelle du soufisme ?Non. Bien sûr, j'apprécie certain poèmes, certaines musiques. Mais je dénonce le mythe naïf d'un soufisme "religion de l'amour" capable de compenser les horreurs de l'islam - au reste, quelle drôle de comptabilité que celle-là ! De fait, soufisme n'est pas synonyme de mystique ou de bienveillance ou de tolérance. Ainsi, Hassan AL Banna, le fondateur des Frères Musulmans, était membre d'une confrérie soufie. Ainsi, Shams, le maître légendaire de Roûmî, était un Taliban fanatique qui torturait ses élèves pour leur graver le Coran dans le crâne, comme encore aujourd'hui des enfants sont enchaînés dans les écoles coraniques - au Soudan par exemple - où ils sont torturés pour mémoriser le Coran.  
Ainsi, la confrérie Naqshbandi, l'une des plus prestigieuses sur le plan mystique, est pourtant l'une des plus ardentes partisanes de l'application de la charia. Par exemple, le maître chypriote Haqqani, aujourd'hui très populaire dans le monde entier et présenté comme "un émissaire de l'islam de paix", est un nostalgique de l'islam politique qui fantasme sur la création d'un grand Califât mondial et fait l'éloge de l'Empire Ottoman. Ainsi, Ibn 'Arabî, pour être un écrivain prolifique, n'en est pas moins un défenseur de la charia et un partisan de la soumission de la femme à l'homme. Réveillons-nous de notre sommeil dogmatique : être un grand mystique n'est pas la garantie d'être d'un grand humaniste. La quasi totalité des soufis ont étés de grands mystiques, de grands poètes... mais aussi de grands défenseurs de la loi totalitaire islamique. 
Courage ! Réveillons-nous avant qu'il ne soit trop tard !
P.S. : puisque nous sommes dans le domaine (vital) du moral et du politique, j'en profite pour ajouter que je suis pour le mariage homosexuel. Ma seule réserve consiste à me demander pourquoi un homosexuel chercherait à se faire bénir par un curé, alors que l’Église voue les homosexuels aux gémonies depuis l'Ancien Testament ? D'ailleurs, pourquoi se marier à l’Église ? Et puis, pourquoi pas un mariage bisexuel, trisexuel, polysexuel, transsexuel, asexuel, etc. ? Il est plus que temps d'ouvrir nos esprits à une véritable réflexion sur ces sujets. Je suis, vous l'aurez compris, également pour les transsexuels et les transhumains, les posthumains et même les non-humains. Eux seuls pourront nous sauver du genre inhumain ! 

Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Anargala 10656 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazine