C'est devenu tellement ubuesque que même l'armée française d'habitude plus que muette ne sait plus à quel organe de presse s'en remettre. Les Français ont laissé par politesse le président Tchadien parler le premier avant de mettre des guillemets à chacun de ses propos et les journalistes français ont appris collectivement et au pas militaire à parler au conditionnel.
Aujourd'hui pour avoir un semblant de vérité sur la situation malienne, je ne peux me fier au récital du dictateur tchadien Idrss Déby qui a besoin de justifier la mort des soldats tchadiens au nord Mali , ni au président François hollande à court de munitions et qui depuis le début de l'intervention française change de discours tous les jours, les médias français ne sont ni informés et ni ne cherchent à s'informer, ils ont adopté la plate attitude en intégrant le conditionnel à toutes leurs dépêches qu'ils sont obligés de publier la mort dans l'âme pour justifier les subventions publiques de l'Etat Français, il ne reste plus que les dépêches des djihadistes reçues par une agence mauritanienne aux faibles moyens mais aux informations qui me semblent plus cohérentes et la dernière dépêche, la voici : http://maliactu.net/un-jihadiste-daqmi-confirme-la-mort-dabou-zeid-dement-celle-de-belmokhtar-3/