Magazine Société

ça a déjà commencé

Publié le 19 mars 2013 par Hoplite

source

J'adore le commentaire du pitre voix off "Ils sont décidés à en découdre!" oui connard.

Je me dis aussi que dans n'importe quel état de droit digne de ce nom, un flic gazé puis menacé par un mec hostile armé d'une batte de baseball serait déjà à terre, refroidi pour de bon, le quartier bouclé, ces branleurs lattés en bonne et due forme (à la Bérurier), les apparts fouillés, le gros bordel avec la peur du bon côté... En France, non, les flics se replient au péril de leur vie, et rien. Ces sous-merdes de kapos (que kiffe tant la sociologie officielle des Iacub et des Borrillo) continueront à défiler devant des juges et à pourrir la vie de gens ordinaires. Une bonne façon d'apréhender l'évolution rapide de la criminalité et la décomposition violente de notre société est de se mettre au vert quelques jours et de constater le décalage entre une France rurale encore largement sûre (la France des années 70, sans la mythifier) et le chaos urbain contemporain. Tout ça n'a pas pris 10 générations, ni cinq mais deux! Si rien ne change, l'avenir c'est ça (moins les shorts et les bombasses):

Vous n'aurez pas d'excuses, vous saviez.

Ce lumpen africain -à expulser d'urgence- ne doit pas cacher la forêt des enculés qui ont permis son existence sur notre territoire:

"En attisant les antagonismes et la défiance mutuelle, elle [immigration de masse] paralyse les réactions et défenses de la population. Pour une classe dirigeante corrompue, une société balkanisée est plus facile à contrôler qu’une société homogène. L’insécurité née de l’immigration devient même une arme formidable de gouvernement. En laissant les délinquants agir à sa place, le pouvoir fait d’une pierre deux coups. L’ordre se défait, mais le désarroi même qui en résulte débouche paradoxalement dans une relégitimisation du pouvoir, car le pouvoir apparaît comme l’ultime rempart contre le désordre triomphant . Le pouvoir tire ainsi argument de l’insécurité pour que les citoyens se résignent à l’abandon de leurs droits, comme la légitime défense." Eric Werner, NRH.

L'ennemi principal reste cette classe dirigeante qui organise méthodiquement les conditions du chaos économique, social, politique, sécuritaire, civilisationnel.

En fait, ça a déjà commencé.


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Hoplite 212 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazine