Devinez quoi les gens? Ben, comme une nouille, j’avais oublié de planifier l’article… -_- Bouleeeeette!
Bref, les amis, voilà une review que je le sais vous avez attendue avec impatience.
Cliquez, sinon Stanislas viendra vous chanter Tea for two dans vos toilettes. ^^
La Grande Vadrouille signe la deuxième collaboration de Bourvil et de Funès comme acteurs principaux d’un film.
Stanislas Lefort, incarné par Louis, est maitre d’orchestre à l’opéra de Paris, jusqu’à ce qu’un parachutiste anglais, MacIntosh, ne vienne se cacher dans sa loge. Augustin Bouvet, incarné lui par André, est peintre en bâtiment devant la Commandantur, et c’est Peter qui atterrit sur son échafaudage. Les deux maintenant traitres au Führer vont devoir retrouver le boss des deux soldats, baptisé Big Moustache, et aider les anglais à retrouver leur mère patrie.
« Are you? » « You are? »
Evidemment, un film de Gérard Oury ne serait pas un film de Gérard Oury sans gags, en l’occurrence mille à la minute.
Ici, je ne vous ferai pas le déshonneur d’en citer des plus célèbres, même si, à mon sens, « De moi fous sosez fous fouter! » est quand même une perle, parmi les nombreux gags, genre la fameuse scène du sifflement à l’hôtel, ou encore l’échange de chaussures.
Et quand on sait que la scène la plus connue du film était improvisée, on se dit que Loulou et André fumaient du pas net.
En effet, quand ce bon vieux Stanislas se retrouve sur les épaules d’Augustin, Louis était sensé se laisser glisser sur le dos de Bourvil. Mais non. Et ils ont fait comme si de rien n’était. Chapeau!
Et je saluerai au passage le caméo remarqué de Michel Modo, aka notre aimé Berlicot, qui louche comme personne. XD
Bref, les amis, les petiots, la Grande Vadrouille n’a pas été le film français le plus vu de tous les temps pour rien. Filez, foncez, et que je ne vous voie plus!
Note: 9,25/10 (scénario: 9/10 - jeu: 10/10 – BO: 8/10 – comédie: 10/10)
« Et surveillez-moi ce FOIE! »
La semaine prochaine, les loups, les Grandes Vacances!
Jeu de briques
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Pacman
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