Sarkozy l'homme à pognon

The World is Yours.

On connaissait déjà l'homme attiré par tout ce qui brille et le coté bling-bling de ses amis stars du show-biz ou du CAC40, il avait commencé dès le soir de son élection en 2007 sur le yacht d'un grand ami à lui, le Sarko festival avait commencé.Cinq années passées, le pays est en ruine, la dette est abyssale et le travailler plus pour gagner plus est devenu une vaste fumisterie, lui le pognon il baigne dedans et s'en sert largement pour faire des cadeaux. On savait qu'il avait aussi dilapidé vite fait les 19 millions d'euros de la réserve ministérielle pendant les 6 premier  mois de 2012, comme si il voulait se barrer comme un voleur, cette réserve que Sarkozy lui-même avait décidé de prendre le contrôle dès 2008.Ce qui est sûr c'est que Sarkozy savait comment se faire des bons amis, avec un poste de président et du pognon c'était facile d’élargir son cercle d'amis, son grand "ami" Obama peut témoigner de sa générosité  sous sa présidence, rien que sur l'année 2011 sa femme et lui ont reçu pour 41000 euros de cadeaux, même les chinois et les russes n'avaient pas donné autant.Cinq ans donc à se faire un chouette carnet d'adresses, la politique est derrière lui et il m'étonnerait qu'il y retourne un jour pour un mandat même s'il a félicité récemment et en privé les deux fêlés de l'abrutea party, Frigide Barjot et Xavier Mongolitault. On ne sait jamais aux USA le Tea party est aussi un parti à pognon, ça peut servir.Aujourd'hui il est conférencier, pas pour défendre les droits de l'homme ou l'écologie mais pour le pognon, Goldman Sachs, la banque des affaires en tout genre va le rémunérer grassement pour son conseils avisés, on parle de 100.000 dollars pour un show à Londres qui va surement durer une petite heure et que tout les invités vont applaudir avant d'aller au buffet. Hier il était à Montréal où il a discuté de "l’état de l’économie mondiale, des perspective pour l’Europe, des nouveaux équilibres qui caractérisent la gouvernance mondiale", ainsi que de la relation entre la France et la Belle province, entre potes. La fiesta était organisé par la Banque royale du Canada où  il fallait débourser entre 170 et 600 euros pour participer. A ce prix-là, les participants avaient eu droit à une photo souvenir seuls avec Nicolas Sarkozy, en plus du gueuleton et de quelques menus services non précisés.
La belle vie quoi, un peu comme dans les films de mafia, avant que ça tourne mal.
Dans ce pays, il faut d’abord faire le fric, et quand tu as le pognon tu as le pouvoir, et quand tu as le pouvoir tu as toute les bonnes femmes. 
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