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Les deejays dans le cinéma

Publié le 27 décembre 2012 par Crackerjack
Les DJ’s fascinent, il est donc normal que plusieurs réalisateurs se soient penchés sur le sujet. Deux titres sont à retenir lorsque l’on associe Clubbing et cinéma : Frankie Wilde et Berlin Calling, deux films que l’équipe Crackerjack vous invite à découvrir à travers cet article.

Frankie Wilde

Ce film est en fait un docu-fiction retraçant la vie de Frankie Wilde (Paul Kaye), une légende dans l’univers des Dj’s et résident des plus grandes discothèques d’Ibiza. Frankie est une vraie superstar et il dépense sa fortune en menant une vie faite de fiesta, d’alcool, de femmes et de drogues. Lentement mais surement la cocaïne fera chuter le DJ le plus adulé de l’île mais ce n’est rien encore par rapport à ce qu’il va devoir endurer : devenir sourd …

Frankie Wilde est vraiment un film hilarant à prendre au second degré et à regarder en toute légèreté. De très belles prises de vues dans des discothèques  prestigieuses comme le Pacha, le Cream et le Privilège permettent de se plonger facilement dans l’ambiance clubbing que dégage le film. Notons également la présence dans le film de DJ internationaux comme Carl Cox, Pete Tong, Tiësto, Sarah Main ou encore Charlie Chester.

Berlin Calling

Martin (Paul Kalkbrenner), alias le célèbre DJ Ickarus, court les festivals et les clubs du monde entier, secondé par la fidèle Mathilde (Rita Lengyel), sa petite amie et manager. Siestes dans les terminaux d’aéroport, sets electro devant une foule compacte… les nuits se suivent et se ressemblent. De retour à Berlin, Martin refuse de lever le pied et ne peut s’empêcher de courir les fêtes, à grand renfort de drogues dures. Il devient difficile à gérer et même insupportable pour ses proches et ses relations de travail. Après la soirée de trop, il est interné aux urgences psychiatriques où il pourra rester s’il consent à suivre une thérapie. Martin souhaite-t-il seulement approcher l’âge de raison ? Ecoutera-t-il enfin son père, un pasteur luthérien ?

D’un ton plus sérieux que Frankie Wilde, Berlin Calling apporte un regard plus critique sur la descente aux enfers que peut provoquer la drogue. Cette ambiance plus lourde est magnifiquement soulignée par la bande originale réalisée par Paul Kalkbrenner lui même et qui ravira les inconditionnels de musique électronique. L’un des morceaux de cette BO a d’ailleurs été largement diffusé, il s’agit de Sky and Sand par Paul et Fritz Kalkbrenner.


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