Mais que dis-je ? ô sottise ! et quel égarement !
Il y a si longtemps que j'essaie
de toucher la nuit les fronces les légèresTu voudrais sans arrêt qu'à tes yeux je me dresse
Resterons-nous en attente
Assis côte à côte
et Celle qu'on attendait, Barnaud