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Jim Noir

Publié le 02 mai 2008 par Peefogg
Comme tout français respectable, je déteste les anglais, moins que les chinois mais bien quand même. Sauf qu'à part leur caractère et leur cuisine, ils ne nous le rendent plutôt mal, notamment en zik. Tenez, à Manchester, Alan Roberts, qui se cache derrière Jim (Jameson) Noir, est encore un égocentrique qui fait tout tout seul mais avec soin. En plus, d'après des zoreilles de confiance, il paraitrait qu'en concert (souvent en première partie des... Breeders (si!), lui et sa bande de ménestrels, ils délattent le papier-peint, voire décollent le plancher. Enfin, ils font balancer les têtes plutôt, hein, c'est du gentil.
Jim Noir, c'est un grand pas en arrière dans les années 60. Des vocales mixées à la Beach Boys, des rythmiques Beatlesiennes et des sons electro-retro comme on en fait plein... aujourd'hui. C'est de la pure pop écoutable en famille, optimiste, marrante (quelques paroles valent leur pesant de fish n'chips) et entêtante. Si, allez, laissez-vous tenter...
Son deuxième album, 3 ans après, est sorti le 14 avril dernier. Les morceaux se ressemblent et tout n'est pas magique -même tendance à préférer le premier- mais c'est de la machine à tube, du qui-reste-dans-ta-tête, et donc de nouveau du pain béni pour les publicitaires.
Evidemment, mes préférés sont introuvables sur tutube ou alors avec un son encore plus indécent que ce qui suit. Sortez votre chemise à fleur !...
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