Magazine Humeur

Breaking Bad, monument de la série télé

Publié le 03 octobre 2013 par Homer62 @homer62
Previously on AMC's Breaking Bad...
  Quand on lit le synopsis de la série, on hésite forcément à entrer dans l'univers créé par Vince Gilligan, autour d'un prof de chimie qui découvre qu'il est atteint d'un cancer et qui, pour subvenir aux besoins de sa famille après sa mort, décide de s'associer avec un de ses anciens élèves devenu petit dealer, pour créer de la méta-amphétamine et la revendre. Sur un rythme lent, maitrisé, posé, avec des plans recherchés et merveilleux, Breaking Bad est une série hors norme. Aujourd'hui, après cinq saisons de montée en puissance, je peux dire qu'il s'agit d'un chef d'œuvre.   Images intégrées 2   Désormais terminée, laissant la porte ouverte à certains imaginaires, il y aura à la télévision une ère « après Breaking Bad ». Certains épisodes frôlent la folie, il est impossible de s'en remettre, tant la tension est palpable, tant le choc nous aura soufflé. Walter White, petit prof insignifiant, qui entre dans la spirale du grand banditisme, perdu, dépassé et pourtant tout en maitrise, trouve sa place dans le Panthéon des personnages de séries, dont il vient de ravir le trône, fort justement. Avec le recul que l'on lui doit, il s'avère que chaque petit élément de la série, épisode par épisode, était important. Globalement, aucun déséquilibre. Un jeu d'acteur qui frôle l'excellence, qui EST excellent. Aaron Paul, qui incarne Jesse Pinkman, est un grand acteur. Bryan Cranston (rappelez-vous, Hal, dans Malcom in the Middle) est un géant. Un géant.
  Breaking Bad. C'est une série parfaite. De bout en bout.

Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Homer62 237 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Dossiers Paperblog