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Jeff Mills l’interview

Publié le 14 octobre 2013 par Hartzine

Jeff Mills 2Après avoir fêté les vingt ans de son label Axis Records fin 2011, on aurait pu penser que Jeff Mills, pionnier avec Carl Craig de la seconde vague techno émanant de Détroit - la première étant chapeautée par The Belleville Three, soit Juan Atkins, Derrick May et Kevin Saunderson – , aller décélérer le rythme effréné de sa production discographique. Il n’en est rien. Voir, depuis la parution de Sequence - luxueuse compilation anniversaire de ladite structure – , le quinquagénaire s’est mué en véritable Stakhanov de la composition et de l’interprétation live. Outre une demie-douzaine d’EP et de singles, le néo-parisien a sorti en septembre dernier le très electro-cosmique The Jungle Planet - faisant suite dans sa série Sleeper Wakes, initiée par l’album du même nom (2009) et développant un prisme radicalement futuriste pour imaginer la musique de demain, à The Messenger paru en 2011 - en plus d’une collaboration avec l’astronaute Mamoru Mohri sur un album Where Light Ends paru pour le moment exclusivement au Japon. Précisément l’oeuvre pour orchestre symphonique qui sera livrée en première mondiale avec l’Orchestre Symphonique de Bretagne dans le cadre du Festival Maintenant samedi 19 octobre (lire). L’occasion était trop belle pour ne pas apostropher le maître de quelques questions d’ordre généraliste, brossant tout de même l’ensemble de son actualité en plus du suscité festival : de son autre création Chronicles of Possible Worlds qui sera présentée le 10 novembre prochain dans le cadre du festival Second Nature à Aix-en-Provence à sa résidence à la Machine du Moulin Rouge dans le cadre se son autre projet Time Travel. A en perdre son latin.

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