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[sortie] Quai d'Orsay, sur nos écrans aujourd'hui

Publié le 06 novembre 2013 par Vance @Great_Wenceslas

C'est aujourd'hui que sort Quai d'Orsay, dernière réalisation de Bertrand Tavernier adaptée du premier tome d'une bande dessinée à succès s'inspirant de la vie de Dominique de Villepin alors qu'il était Ministre des Affaires Etrangères.

Quai d'Orsay 02

Cecilia était allé le voir en avant-première et avait bien apprécié ce film au rythme trépidant, comme vous pourrez le lire dans sa critique en cliquant sur le lien.


 

Quai-d-Orsay-01.jpg

Titre original

Quai d’Orsay 

Mise en scène 

Bertrand Tavernier

Date de sortie France 

6 novembre 2013

Scénario 

Tavernier, Blain & Baudry d’après la BD de Blain & Lanzac  

Distribution 

Thierry Lhermitte, Raphael Personnaz & Niels Arestrup

Musique

Philippe Sarde

Photographie

Jérôme Alméras

Support & durée

35 mm ; 113 min

 

Synopsis : Alexandre Taillard de Worms est grand, magnifique, un homme plein de panache qui plait aux femmes et est accessoirement ministre des Affaires Étrangères du pays des Lumières : la France. Sa crinière argentée posée sur son corps d’athlète légèrement halé est partout, de la tribune des Nations Unies à New-York jusque dans la poudrière de l’Oubanga. Là, il y apostrophe les puissants et invoque les plus grands esprits afin de ramener la paix, calmer les nerveux de la gâchette et justifier son aura de futur prix Nobel de la paix cosmique. Alexandre Taillard de Vorms est un esprit puissant, guerroyant avec l’appui de la Sainte Trinité des concepts diplomatiques : légitimité, lucidité et efficacité. Il y pourfend les néoconservateurs américains, les Russes corrompus et les Chinois cupides. Le monde a beau ne pas mériter la grandeur d’âme de la France, son art se sent à l’étroit enfermé dans l’Hexagone. Le jeune Arthur Vlaminck, jeune diplômé de l’ENA, est embauché en tant que chargé du “langage” au ministère des Affaires Étrangères. En clair, il doit écrire les discours du ministre ! Mais encore faut-il apprendre à composer avec la susceptibilité et l’entourage du prince, se faire une place entre le directeur de cabinet et les conseillers qui gravitent dans un Quai d’Orsay où le stress, l’ambition et les coups fourrés ne sont pas rares... Alors qu’il entrevoit le destin du monde, il est menacé par l’inertie des technocrates.


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