Premiers pas sur Outlast

Le week-end dernier j’ai joué à Outlast. Bon, je ne vais pas vous mentir, j’ai regardé mes potes jouer à Outlast. Perso, j’étais bien trop occupée à me planquer sous la couette. Pour ceux qui ne connaissent pas, Outlast, sorti le 4 septembre dernier, est un jeu de « Survival-Horror ». On y incarne un journaliste, Miles Upshur qui enquête dans un asile où il y aurait apparemment eu des expériences peu orthodoxes sur les patients. Avec pour seule arme un caméscope, le but est de survivre tout en récoltant suffisamment d’info pour comprendre ce qu’il se passe là-dedans.

Le cadre est déjà bien flippant, en plus, on n’est pas armé. Quand on arrive dans un coin sombre, on active la vision nocturne façon Rec, et on prie pour qu’il n’y ait pas de monstre, bref on a le cœur qui bat à 100 à l’heure.

Au-delà d’être un jeu extrêmement stressant, il est également fascinant. L’histoire qui se crée au fur et à mesure est pleine d’intrigues et de rebondissements. C’est drôle de se mettre dans la peau d’un journaliste, obligé de filmer malgré la trouille, comme dans un bon film d’horreur.

Je l’ai trouvé beau, et j’ai particulièrement apprécié les comportements du mec. Tout est dans le détail : de la main posée contre le mur quand il se penche discrètement, au bruitage du souffle du mec complètement flippé.

Se planquer sous le lit en priant pour qu’on ne nous trouve pas, courir à travers les couloirs sans savoir si on prend le bon chemin, sursauter quand on croise un monstre dans notre vision nocturne, manquer de batterie sur votre caméra qui vous forcera à jouer à « l’aveugle », voilà le minimum à subir si vous jouez à Outlast.

Si vous aimez vous faire peur, vous allez ADORER !