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Black Eden tome 1 : la tour et l’île, Ana Alonso et Javier Pelegrin

Par Maliae

black edenRésumé : Martin, 15 ans, est un adolescent hors du commun. Son système immunitaire résiste à n’importe quelle maladie. Dédale, une puissante corporation qui fabrique des médicaments, le recrute. Le contrat : vivre sur une île paradisiaque avec pour seule obligation de se prêter à quelques petites expériences.
Que du bonheur donc ? Pas si sûr…

Avis : j’avais trop hâte de lire ce livre, j’adore les dystopies et mon but stupide est de lire toutes les dystopies qui existent. Cette histoire avait l’air originale et effectivement sur certains points elle l’était, notamment concernant les personnages de Martin, Cassandre, Sélène et Jacob, et le petit côté fantastique qui s’y insert. Parce que sinon au niveau du monde en lui-même j’avais déjà vu un peu le même genre dans d’autres dystopies. Forcément nous avons le grand méchant : Hiden, qui fait semblant d’être sympa, qui a pleins de trésors pour ces gamins qui vivent dans un monde oppressant, il leur fait de grandes promesses mais en fait c’est un sale type et ce n’est pas difficile à deviner. Si j’ai beaucoup aimé Martin (il est super intelligent ce gosse) et Alexandra (pour le petit côté histoire d’amour, et parce que bien qu’elle soit "normale" elle est hyper maligne !) Par contre pour Sélène et Cassandre je les ai juste trouvé interchangeable. J’ai apprécié Jacob mais sans plus. Par contre j’étais totalement fan de Léo, cet androïde est franchement super ! Il me faisait marrer, et j’adorais quand il parlait.
L’histoire en elle même est plutôt sympa, mais qu’est ce que c’est long par moment, on tourne en rond des fois et j’aurais aimé que ça s’accélère, ou qu’un truc trop WTF arrive, genre "nooon je ne me serais pas attendu à ça oh vache et ben", sauf que non. C’est assez linéaire au final et tout tombe toujours assez facilement dans la bouche de nos héros, même quand ils ont un petit soucis, ils s’en sortent finalement assez facilement. Parfois c’était peut-être un tout petit peu trop facile. Le livre n’en reste pas moins intéressant et j’ai passé un bon moment, d’autant plus qu’il est bien écrit, et bien décrit. J’ai donc passé un bon moment avec ma lecture, et j’adore la couverture que je trouve trop classe ! J’ai très envie de lire le tome 2!

La fin du livre est composé d’un lexique, mais j’avoue que je ne l’ai pas lu. Il retrace un peu l’histoire fictive du livre, et décrit les villes etc. Cela peut être intéressant je pense pour ceux qui veulent en savoir plus sur le monde.

Phrases post-itées :
"- Tu n’as jamais songé que les livres étaient en réalité des machines à fabriquer des rêves?" j’adore cette idée, et c’est sans doute un peu vrai.

"Il avait l’étrange conviction que, ces derniers temps, la plupart des activités habituelles étaient devenues illicites. Il n’aurait pas trouvé bizarre que la police vienne l’arrêter parce qu’il avait pelé une poire avec un couteau à viande ou qu’il s’était mouché avec une violence inhabituelle." C’est à la fois horrible et drôle

Annecdote : j’étais persuadée qu’il s’agissait d’une trilogie. Non en fait il y a 8 tomes…

Le tome 2 : (je trouve la couverture vachement sympa aussi)

black eden tome 2


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