Magazine Cinéma

Le Hobbit: la Désolation de Smaug - Critique vidéo

Par Nopopcorn @TeamNoPopCorn

Le-Hobbit-La-Desolation-De-Smaug-Banner-Video-1280px

Un second épisode plus puissant, plus sombre et plus dense !

Dans  Le Hobbit : la Désolation de Smaug de Peter Jackson, nous retrouvons Bilbon Sacquet (Martin Freeman), les nains et Gandalf en route pour récupérer le trésor détenu par le dragon Smaug.

Vidéo de la critique du film Le Hobbit : la Désolation de Smaug

La critique en vidéo est en cours de montage !
En attendant vous pouvez lire notre critique écrite ci-dessous.
Inscrivez-vous à la newsletter, pour être alerté de la publication de la vidéo


La version texte de la critique

Yanchasp portraitDécoupé en trois films, cet hiver nous découvrons le deuxième volet des aventures du hobbit dans Le Hobbit: la Désolation de Smaug de Peter Jackson.
Dans cette suite directe, nous retrouvons Bilbon, les nains et Gandalf qui sont en route vers la Montagne Solitaire pour récupérer le trésor volé par le dragon Smaug.
(...)

  • L'Avis de Yannick R. - Cliquez pour lire la suite (9.5/10)

    Le-Hobbit-la-Desolation-de-Smaug-Photo-Bilbon-02

    Le(s) plus

    Comme dans Le Hobbit : un voyage inattendu, Peter Jackson prend des libertés dans l'adaptation du livre de J.R.R. Tolkien tout en corrigeant les quelques bémols du premier, qui donne au final un film plus puissant, plus sombre et plus dense.

    Pour exemple, l'humour centré sur les nains dans le premier épisode, dont un bon nombre de personnes se plaignaient (de mon côté je trouvais que cela restait fidèle à l'esprit du livre), est ici plus discret.

    Comme dans l'épisode précédent on commence par un petit retour en arrière, cette fois-ci avec Thorin (Richard Armitage) et Gandalf (Ian McKellen), dans une scène qui nous explique comment cette aventure a démarré.

    On retrouve les passages importants du livre, comme la Forêt Noire avec ses illusions et les araignées ou la fameuse fuite en tonneaux (qui est ici agrémentée par des ajouts scénaristique par l'équipe de Peter Jackson), sans oublier la rencontre entre Bilbon et Smaug le dragon.

    La scène la plus épique et incroyable est celle de l'évasion en tonneaux. Des chorégraphies magnifiques pour cette scène d'action entre les orques, les elfes de la Forêt Noire, les nains et Bilbon. Cette scène a même gagnée en intensité par rapport au livre.

    Au final, l'histoire est bien plus sombre que dans le livre, pour rejoindre un peu plus l'esprit du Seigneur des Anneaux, en y faisant également plus référence entre Sauron, l'anneau et la guerre qui se prépare.

    Du côté des personnages, Peter Jakson a pris la liberté d'ajouter des éléments et des personnages comme Tauriel (Evangeline Lilly), une elfe qui n'existe pas dans le livre, mais qui apporte une touche féminine à cet épisode, mais pas seulement, car elle participe activement aux scènes d'actions.
    Justement, du côté des elfes, on a le retour du célèbre Legolas (Orlando Bloom) du Seigneur des Anneaux, et malgré l'appréhension d'un caméo purement commercial, Legolas (Orlando Bloom) a une véritable implication dans le film et il est toujours aussi impressionnant avec ses chorégraphies de combats, qui sont de plus vraiment fantastiques en duo avec Tauriel (Evangeline Lilly).
    On retrouve également la fine équipe des nains, avec le chef Thorin Ecu-de-Chêne (Richard Armitage), un peu plus charismatique que dans l'épisode précédent, en compagnie de l'excellent Bilbon Sacquet (Martin Freeman) et Gandalf Le Gris (Ian McKellen).
    Sans oublier la superbe voix caverneuse de Benedict Cumberbatch, qui interprète le dragon Smaug et qui donne droit à la magnifique scène entre Bilbon et Smaug.

    Le-Hobbit-la-Desolation-de-Smaug-Photo-Legolas-01

    Techniquement on retrouve toujours le travail précis de l'équipe des studios Weta.
    La ville des hommes du lac, Bourg-du-Lac (Esgaroth), est encore une fois très ressemblante aux croquis d'Alan Lee, mais surtout les animations des combats semblent plus réelles où l'épisode précédent donnait une impression de jeux vidéo.

    A noter, comme à son habitude le réalisateur Peter Jackson fait une apparition dans son film. Pour indice, c'est dans le même village que dans le Seigneur des Anneaux.

    Le(s) moins

    Certains verront la même ligne directrice que l'épisode précédent, mais ce qui peut réellement déranger est la référence trop proche du Seigneur des Anneaux, avec par exemple le personnage de Tauriel (Evangeline Lilly), trop semblable à Arwen (Liv Tyler).

    La fin du film arrive très brutalement, c'est très perturbant, d'autant plus que le choix pour la chanson ("I See Fire" de Ed Sheeran) du générique de fin, est assez étrange même si les paroles sont en rapport avec le film. La barrière est trop brutale, plutôt que de nous glisser au moins quelques notes de la musique d'Howard Shore, avant de mettre cette chanson.
    A noter que la bande originale d'Howard Shore est moins mémorable dans cet épisode, même si les thèmes sont toujours présents et que c'est toujours un plaisir de les entendre. Mais il n'y a pas vraiment de nouveauté de sa part dans ce film, en tout cas au premier visionnage.

    Le-Hobbit-la-Desolation-de-Smaug-Photo-Tauriel-01
    Conclusion

    Les libertés d'interprétations prises par Peter Jackson permettent d'avoir un épisode plus riche que l'adaptation directe du livre de J.R.R. Tolkien. De plus, les effets spéciaux majestueux mettent en valeur des scènes mémorables (et très importantes dans le livre) comme celle des tonneaux et des araignées.
    Au final, Le Hobbit : La Désolation de Smaug est plus puissant, plus sombre et plus dense que le premier épisode du Hobbit.

    Ma note: 9.5/10.

    Note: A la fin on se demande vraiment ce qui va rester pour le troisième et ultime épisode du Hobbit (Le Hobbit : histoire d'un aller et retour), le film se terminant à seulement quelques pages de la fin du livre. Mais une fois de plus, faisons confiance à Peter Jackson, surtout qu'il a laissé assez d'éléments dans les deux épisodes du Hobbit, pour faire un film qui termine l'histoire du Bilbon le Hobbit mais qui ouvre également sur le Seigneur des Anneaux.

Spaz portrait

Après un court flash-back nous retrouvons nos héros toujours traqués par les Orcs d'Azog et allons suivre leur périple qui les conduira des bois noirs de Mirkwood ou ils croiseront quelques créatures bien connu des lecteurs du roman jusqu'au cœur des monts brumeux pour faire face au redoutable Smaug alors que Gandalf va voir un mal ancien préparer son retour.
(...)

  • L'Avis de Patrice S. - Cliquez pour lire la suite (8/10)

    Le-Hobbit-la-Desolation-de-Smaug-Photo-Bilbon-01
    Le(s) plus

    J'avais été obligé de réviser à la baisse mon jugement sur le premier volet handicapé par des problèmes de rythme avec un alignement assez mécaniques de péripétie.
    Heureusement on constate dans « La Désolation de Smaug » une amélioration à tous les niveaux, le film bénéficie de l'effet « épisode du milieu », les enjeux étant posés on entre de suite dans le vif du sujet.

    L'introduction de nouveaux protagonistes (parfois familiers) oxygène la narration de ce volet, on a plaisir à retrouver Legolas bien sûr mais j'ai été très agréablement surpris par le personnage de Tauriel (qui ne figure pas dans l'œuvre de Tolkien) et par le jeu de son interprète Evangeline Lilly qui donne à la franchise une vraie héroïne d'action. Lee Pace dans le rôle du souverain des Elfes de la foret a une présence forte et ambiguë (on le verra bientôt en méchant dans Guardians of the Galaxy).J'apprécie le travail de Luke Evans un acteur que je trouve toujours bon même dans des films médiocres, il apporte ici un éclairage humain à l'histoire, l'arche narrative de son personnage de Bard le place à mes yeux un héritier de l'interprétation de Viggo Mortensen dans la trilogie de l'Anneau. Plus que celui de Thorin (Richard Armitage) que les auteurs tentent de positionner en substitut d'Aragorn de manière parfois artificielle y compris avec le prologue très familier.

    Techniquement le niveau du film me semble encore plus élevé si c'était possible, le rendu des créatures est somptueux avec comme clou du spectacle le dragon SMAUG.
    Benedict Cumberbatch prête sa voix caverneuse et, par la grâce des effets spéciaux de Weta ses mouvements parvenant à faire du saurien un personnage à part entière.

    La mise en scène de Peter Jackson retrouve son âme, peut être porté par les ambiances plus sombres il se montre inspiré quand il décrit la décrépitude d'une société usée ici la vision de cette ville au bord du lac parcourue de canaux semi-gelés est saisissante. Mais c'est bien sûr dans les grandes scènes d'action qu'on l'attend et c'est un plaisir de retrouver dans les séquences de Mirkwood et des tonneaux le Peter Jackson de King Kong et de la trilogie de l'Anneau. Elles sont généreuses et inventives là où j'avais trouvé la scène des gobelins mécanique et impersonnelle dans le premier volet. La séquence des araignées tout en peur primale et verticalité et l'hallucinante séquence des tonneaux qui mêle combats féroces et ride de parc d'attraction avec une vitesse incroyable et une lisibilité de tous les instants, une des meilleures scènes de sa filmographie.

    Le-Hobbit-la-Desolation-de-Smaug-Photo-Gandalf-01
    Le(s) moins

    Même si Martin Freeman est très bon j'ai plus de mal à m'attacher au personnage de Bilbo, il évolue relativement peu à travers sa quête.
    Mon principal regret tient à ce que l'adaptation du roman plutôt joyeux est léger se retrouve enchâssé dans la structure d'une prequel du Seigneur des Anneaux à la tonalité forcément plus sombre. On insiste sur le caractère maléfique de l'Anneau et son influence néfaste sur Bilbo, les Orcs sont à la poursuite de la compagnie des nains tels qu'ils l'étaient aux trousses de la communauté de l'anneau, leur quête apparaissant accessoire face au danger que constitue l'ascension du Nécromancien.

    Enfin revers de la structure en trois films, le film souffre d'un cliffhanger trop abrupt : un sorte de « climaxus interuptus » !

    Le-Hobbit-la-Desolation-de-Smaug-Photo-01
    Conclusion

    Au final "La Désolation de Smaug" en se connectant aux thématique de la première trilogie, parvient à améliorer chaque aspect du premier volet, plus trépidant malgré quelques défauts persistants Peter Jackson a relancé son moteur narratif.

    On part vers "There And Back Again" avec une confiance restaurée!

    8/10.


Le Hobbit : la Désolation de Smaug

Le-Hobbit-la-Desolation-de-Smaug-Affiche-1-France

Synopsis : "Les aventures de Bilbon Sacquet, paisible hobbit, qui sera entraîné, lui et une compagnie de Nains, par le magicien Gandalf pour récupérer le trésor détenu par le dragon Smaug. Au cours de ce périple, il mettra la main sur l'anneau de pouvoir que possédait Gollum..."
Réalisé par: Peter Jackson / Avec: Martin Freeman, Ian McKellen, Andy Serkis, Benedict Cumberbatch, Luke Evans, Orlando Bloom / Genre: Fantastique, Aventure / Nationalité: Américain, néo-zélandais / Titre original: The Hobbit : The Desolation of Smaug / Distributeur: Warner Bros. France
Durée: 2h41min / Date de sortie: 11 décembre 2013
Plus d'informations !
  • Les Anecdotes !


    La première photo de La Désolation de Smaug a été dévoilée en décembre 2012, mais quelques heures après le premier cliché d'Le Hobbit : histoire d'un aller et retour, qui est pourtant le troisième et dernier volet de la trilogie.

    Evoqué depuis la sortie du Retour du roi, dernier volet de la trilogie du Seigneur des Anneaux, Le Hobbit a mis plus de temps que prévu avant de sortir de son trou. Initialement proposé à Sam Raimi, le projet a ensuite atterri entre les mains de Guillermo del Toro, qui a dû faire face à la grève des scénaristes (début 2008), aux problèmes financiers de la MGM et à divers reports avant de jeter l'éponge, en juin 2010, forçant Peter Jackson à prendre lui-même les choses en main.

    Si l'on considère que la trilogie du Seigneur des Anneaux et la trilogie du Hobbit sont deux films, ce dernier est donc le dixième long métrage réalisé par Peter Jackson. Mais si l'on prend chaque épisode séparément, les trois volets constituent ses douzième, treizième et quatorzième passages derrière la caméra.

    A l'époque où Le Hobbit devait être un dyptique, cet épisode s'appelait "Histoire d'un aller et d'un retour". Un titre qui est finalement revenu au troisième opus de la trilogie, une fois la saga élargie, celui-ci devenant "La Désolation de Smaug", du nom du dragon dont l'oeil est la dernière image du premier volet.

    Le grand favori pour incarner Bilbo a longtemps été James McAvoy. Puis on a parlé de Daniel Radcliffe, David Tennant, Shia LaBeouf, Erryn Arkin ou Tobey Maguire, mais le rôle est finalement revenu à Martin Freeman. Vu notamment dans Hot Fuzz, où Peter Jackson faisait un caméo, l'acteur a pourtant dû refuser la proposition, dans un premier temps, pour cause de conflit d'emploi du temps avec le tournage de la série Sherlock. Mais la production a fini par trouver un arrangement pour que le comédien puisse faire les deux.

    Avant Le Hobbit, Martin Freeman (Bilbo) et Benedict Cumberbatch (la voix de Smaug) se connaissaient déjà, puisqu'ils sont les héros de la série Sherlock pour la BBC depuis 2010. Il en va de même pour Orlando Bloom (Legolas) et Luke Evans (Bard l'archer) qui s'étaient côtoyés sur le tournage des Trois Mousquetaires. A noter que Jed Brophy (Nori) avait joué aux côtés de Peter Jackson dans "Brainhead".

    Outre Ian McKellen (Gandalf) et Andy Serkis (Gollum), dont les personnages ont un rôle important dans l'histoire, Hugo Weaving (Elrond), Cate Blanchett (Galadriel), Elijah Wood (Frodon), Christopher Lee (Saroumane) et Ian Holm (Bilbo vieux) font également leur retour dans la Comté. A noter également le cas de Bret McKenzie : présent dans Le Seigneur des Anneaux, dans la peau d'un elfe, il revient également dans Le Hobbit, où il joue le personnage de Lindir.

    Leurs santés respectives les empêchant de faire le voyage en Nouvelle-Zélande, Ian Holm et Christopher Lee ont tourné toutes leurs scènes dans les célèbres studios de Pinewood, en Angleterre.

    Si Andy Serkis a dû réenfiler la combinaison inhérente à la performance capture, pour faire revivre Gollum, l'acteur a également expérimenté l'autre côté de la technique, en tant que réalisateur de la seconde équipe.

    A l'origine, le rôle de Fili était destiné à Rob Kazinsky. Mais ce dernier, après avoir tourné quelques scènes, a dû déserter le plateau et jeter l'éponge pour des raisons personnelles, et a été remplacé par Dean O'Gorman. De la même façon, Saoirse Ronan, que Peter Jackson avait dirigée dans Lovely Bones, était en lice pour jouer une elfe, mais un conflit d'emploi du temps l'a empêchée de prendre part à l'aventure.

    Titulaire du rôle de Radagast le Brun, Sylvester McCoy aurait pu intégrer la Terre du Milieu quelques années plus tôt, puisqu'il avait été l'un des acteurs envisagés pour interpréter Bilbo dans Le Seigneur des Anneaux.

    Débutées le 21 mars 2011, les prises de vues des deux volets du Hobbit se sont achevées le 6 juillet 2012, après 266 jours de tournage, soit 8 de moins qu'il n'en avait fallu à Peter Jackson pour mettre en boîte les trois épisodes du Seigneur des Anneaux.

    Les trois volets du Hobbit ont été tournés avec des caméras de modèle Epic, évolution de la Red permettant des prises de vues à 48 images par seconde. Ce procédé, nommé le "High Frame Rate", permet d'augmenter la fluidité de l'image et par là, la sensation de réalité. En effet, depuis les années 1920, le standard cinéma était de 24 images par seconde.

    A l'instar du Seigneur des anneaux, Bilbo le Hobbit avait déjà été adapté en film d'animation en 1977. Orson Bean y doublait le héros, tandis que la voix de Gandalf était assurée par le réalisateur John Huston.

    C'est assez peu conventionnel mais Legolas est plus âgé que Thranduil, son père. En effet, Orlando Bloom, qui récupère son costume d'elfe qu'il avait abandonné à l'issue du Seigneur des Anneaux voilà 10 ans, est plus vieux que Lee Pace qui incarne son père, le roi des elfes de la Forêt Noire. Le premier accuse 36 ans contre 34 à son cadet de paternel.

    Alors qu'il était fortement pressenti pour incarner Thranduil, Doug Jones (Le Labyrinthe de Pan, Hellboy) s'est finalement vu "voler" le rôle au dernier moment par Lee Pace. Très admiratif du travail de ce dernier depuis qu'il l'a vu dans The Fall de Tarsem Singh, Peter Jackson a opté pour le jeune acteur de 34 ans.

    Il est étonnant de voir comment un personnage peut à ce point unir. Plusieurs membres du film ont, en effet, la particularité d'avoir joué dans une adaptation de Sherlock Holmes. Si Bennedict Cumberbatch triomphe à la télévision dans les habits du célèbre détective donnant la réplique à Martin Freeman, qui officie en qualité du Dr. Watson dans Sherlock, Stephen Fry a également participé à une aventure du héros de Sir Arthur Conan Doyle. L'acteur britannique était ainsi Mycroft, le frère de Sherlock, aux côtés de Robert Downey Jr. dans Sherlock Holmes – Jeu d'Ombres. De son côté, Christopher Lee a déjà prêté ses traits par trois fois au détective, deux fois à la télévision en 1991 et une autre fois au cinéma vingt-neuf ans auparavant dans Sherlock Holmes et le collier de la mort. En 1972, il avait également joué Mycroft Holmes sous la houlette de Billy Wilder (Certains l'aiment chaud) dans "La vie secrète de Sherlock Holmes".

    Ce second volet des aventures du Hobbit est l'occasion de découvrir le dragon Smaug dont on avait aperçu l'ombre durant le premier épisode. Pour l'incarner, Peter Jackson a misé sur Bennedict Cumberbatch, plus connu pour son rôle de Sherlock Holmes à la télévision. L'acteur se glisse pour la deuxième fois dans la peau d'un méchant en 2013 puisqu'il tenait déjà ce rôle dans Star Trek Into Darkness.

    Jed Brophy marche dans les pas de son fils. En 2003, Sadwyn Brophy apparaissait dans Le Seigneur des anneaux – le Retour du Roi sous les traits du fils d'Aragorn et Arwen dans une vision de celle-ci. Aujourd'hui, Jed a repris le flambeau en investissant la Terre du Milieu et les films de Peter Jackson en qualité de Nori, l'un des 13 nains de la compagnie menée par Thorin.

    Si l'on se réfère à l'histoire originale écrite par J.R.R. Tolkien, l'elfe Tauriel campée par Evangeline Lilly n'existe pas. Ce personnage est une pure invention de la part de Peter Jackson et de sa scénariste Philippa Boyens. Avec elle, ils ont souhaité apporter une énergie féminine supplémentaire. Le réalisateur a toutefois précisé qu'aucune histoire d'amour n'était prévue entre elle et Legolas (Orlando Bloom).

    Le 4 novembre, Peter Jackson a présenté en avant-première mondiale 20 minutes du second volet de sa trilogie. Un évènement qui n'a jamais aussi bien porté son nom puisque cet extrait a été diffusé sur internet ainsi que dans des cinémas à Wellington, Londres, New York et Los Angeles, reliés entre eux grâce à une connexion satellitaire. Plusieurs membres de l'équipe du film y ont participé (Orlando Bloom, Evangeline Lilly, Andy Serkis, Luke Evans, Lee Pace).

    Fin octobre, les créateurs de la série Les Simpsons ont tenu à faire un petit clin d'œil à la sortie du Hobbit – La Désolation de Smaug. Pour l'occasion, un générique inédit a été créé au sein duquel les membres de la famille Simpson sont grimés en personnages de la saga de Peter Jackson et traversent des décors semblables à ceux de la Terre du Milieu en vue de rejoindre... le canapé, lieu de clôture des génériques de la célèbre série.

    Créer un personnage de la dimension de Smaug n'a pas été une mince affaire pour les équipes d'effets spéciaux de Peter Jackson. Au total, une semaine a été nécessaire pour aboutir à un visuel concret.

IndianConnectionLogoMerci à "Indian Connection", pour le lieu de tournage.
Restaurant indien, Bar, Music, Lounge
33/35 rue de Lappe 75011 Paris - site internet

Et vous qu'avez-vous pensé du film Le Hobbit : la Désolation de Smaug ?

Retour à La Une de Logo Paperblog