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Taxidermy hybrid art work de Enrique Gomez de Molina

Par Lilavert @LilaVert
  • Enrique Gomez de Molina – Tauro sculpture

    Enrique Gomez de Molina - Tauro sculpture

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  • Enrique Gomez de Molina – taxidermy hybrids – sculptures

    Enrique Gomez de Molina - taxidermy hybrids - sculptures

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  • Enrique Gomez de Molina – Tauro sculpture

    Enrique Gomez de Molina - Tauro sculpture

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  • Enrique Gomez de Molina – sculptures taxidermy hybrid

    Enrique Gomez de Molina - sculptures taxidermy hybrid

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  • Enrique Gomez de Molina – Art Basel

    Enrique Gomez de Molina - Art Basel

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  • Enrique Gomez de Molina – Taxidermy Hybrid Sculptures – Cerf

    Enrique Gomez de Molina - Taxidermy Hybrid Sculptures - Cerf

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  • Enrique Gomez de Molina – Taxidermy Hybrid Sculptures – Cerf face

    Enrique Gomez de Molina - Taxidermy Hybrid Sculptures - Cerf face

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  • Enrique Gomez de Molina – Taxidermy Sculptures

    Enrique Gomez de Molina - Taxidermy Sculptures

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  • Enrique Gomez de Molina – Portrait

    Enrique Gomez de Molina - Portrait

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Taxidermy hybrid art work de Enrique Gomez de Molina

Taxidermy hybrid art work de Enrique Gomez de Molina.

De Molina utilise des parties d’animaux et les fusionne pour créer des êtres étranges, un exemple comporte la tête de deux cygnes sur le corps d’une chèvre et une autre montre la tête d’un écureuil en prise avec un crabe.
Des dérives de la taxydermie, l’artiste a plaidé coupable d’avoir importé illégalement des pièces provenant d’espèces en voie de disparition. Des cobras entiers, des pangolins, des calaos, des crânes de babirusa ou de orangs-outans venant de régions partout dans le monde y compris à Bali, en Indonésie, en Thaïlande, aux Philippines ou encore de Chine.

L’artiste affirme qu’il visait à sensibiliser son travail face au danger d’extinction d’une série d’espèces, souhaitant de même représenter les dangers du génie génétique et de l’intervention humaine.

Sur un site Web présentant son travail, il dit : ” L’impossibilité d’existence de mes créatures m’amène à la fois de la joie et de la tristesse. “

Sa joie – de voir et de vivre le fantasme de ses œuvres, couplée à la tristesse du fait que nous sommes en train de détruire toutes ces belles choses.
(C’est un peu l’hôpital qui se fout de la charité).
[Source in en : Dailymail]


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