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Les 9 meilleures chansons de Liars pour déchiffrer l’indéchiffrable.

Publié le 22 janvier 2014 par Feuavolonte @Feuavolonte

 Les 9 meilleures chansons de Liars pour déchiffrer lindéchiffrable.

Toujours en mode exploration, c’est le 24 mars prochain que le trio Liars nous offrira son septième album, Mess. Pour souligner la parution de ce qui se voudra possiblement un des incontournables de 2014, tentons de démêler la discographie du groupe à travers quelques anti-mélodies.

Liars – This Dust Makes That Mud

Seul album complet conçu en tant que quatuor, They Threw Us All in a Trench and Stuck a Monument on Top (Blast First, 2001) se veut aussi la parution la plus conventionnelle du groupe. L’enregistrement se termine tout de même sur un long collage noise rock en trois temps qui viendra dicter la suite des choses.

Liars – There’s Always Room on the Broom

Injustement rejeté dès sa sortie, They Were Wrong, So We Drowned (Mute, 2004) pourrait bien être perçu comme étant le Metal Machine Music de Liars. Imaginée aux côtés de Dave Sitek (TV on the Radio), cette deuxième tentative conceptuelle aura néanmoins dévoilé l’esprit sans concession qui habite le groupe. À réécouter une décennie plus tard, puisque vous aviez probablement tort de le dénigrer à l’époque…


Liars – It Fit When I Was a Kid

Ode à l’obsession grandissante du trio pour les percussions, Drum’s Not Dead (Mute, 2006) est élaboré à Berlin, endroit où le groupe souhaite se réinventer une fois de plus. Sans trop se tromper, on peut affirmer que la réinvention est complète. Ligne directrice bien soutenue, une voix de fausset qui fait son chemin à travers les ambiances drone et une expérience sonore des plus hypnotisante.

Liars – What Would They Know

Liars (Mute, 2007) est marqué par un retour inattendu aux racines rock du groupe. Les ingrédients principaux de cette nouvelle mixture rock: des compositions qui tournent autour de deux ou trois accords distorsionnés, des claviers froids qui rappellent l’exil passé des trois musiciens et des rythmes primitifs.

Liars – Proud Evolution

Sur Sisterworld (Mute, 2010), on retrouve un Angus Andrew à la voix basse. Une voix basse qui, par moment, n’est pas s’en rappeler un certain Nick Cave. On est devant un autre enregistrement rock, mais cette fois-ci, on peut autant y déceler des orchestrations et que des envolées krautrock. L’album le plus conservateur de leur collection.

Beck’s Record Club – Need You Tonight

À la demande de Beck, les trois copains ainsi que Sergio Mendes (Os Mutantes) et Annie Clark (St. Vincent) entrent en studio une journée afin de s’attaquer à l’album Kick des Australiens INXS. Ce quatrième volet du Record Club est de loin le plus réussi de la série et la présence de Liars y est pour beaucoup. Le groupe y amène un groove qui n’était pas perceptible sur les relectures précédentes. On en vient même par oublier la présence de l’instigateur de la chose…

Liars – No.1 Against the Rush

Enregistrement phare de 2012, WIXIW présente Liars dans sa mouture la plus électronique. Appuyés par le grand patron de Mute et réalisateur de Depeche Mode à ses heures (Daniel Miller), ils se sont isolés dans un studio en forêt afin d’en ressortir avec un album organique à souhait.

The Twilight Sad – Nil (Liars Remix)

Puisque le groupe se permet parfois de revisiter le travail de collègues musiciens qu’ils apprécient… On peut dire qu’ils avaient frappé fort avec ce remix des Écossais The Twilight Sad.

Liars – Mess on a Mission

Après des semaines de promotion laineuse, voilà enfin le moment de mettre l’oreille sur le premier extrait de Mess. Un septième essai que le groupe doit nous faire parvenir le 24 mars. Tout porte à croire qu’ils poursuivront leurs expérimentations électroniques, mais il ne faut jamais rien prendre pour acquis lorsqu’il est question de Liars


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