France TV aux JO: La « Has Been Channel » n’en finit pas de frapper

Quelle purge! Voilà comment on pourrait qualifier les premiers jours des Jeux Olympiques de Sotchi que cela soit par les piètres résultats du clan français mais surtout par la nullité ambiante qui règne dans les rangs des journalistes de France Télévisions. Passons sur la relative faiblesse des athlètes français engagés en Russie qui était attendue et attardons nous sur l’équipe de bras cassés qui est censée nous retranscrire d’une manière professionnelle, didactique et si possible avec émotion cet évènement interplanétaire. Sur le banc des accusés, j’appelle Patrick Montel, Nelson Monfort, Jean-René Godart, Lionel Chamoulaud ou Gérard Holtz, une belle brochette de plus de 60 ans d’âge moyen. On dit souvent que le talent n’attend pas le nombre des années mais il semblerait que dans le service des sports du service public, le talent s’impatiente d’attendre le nombre des années. En effet, si les sportifs français brillent par leur absence des podiums, la bande à Bilalian (67 ans et directeur des sports de France Télé) brille pas son incompétence. Au premier rang duquel, le « Has Been » en chef, le bien nommé Patrick Montel. Porte-parole de la confrérie des « je suis journaliste sportif, depuis la nuit des temps, donc je suis », ce bon vieux « Pat » n’en finit pas de nous impressionner à chaque intervention: Chauvinisme à outrance, écorchage de noms en veux-tu en voilà, aucune culture sportive à part de son précieux athlétisme (et encore)…enfin tout ce qu’il y a de pire. Assis à la table ronde de Stade 2 chaque semaine avec un temps de parole limité (heureusement pour nous et Céline Géraud), le chevalier Montel est encore allé plus loin hier en s’offusquant que les disciplines extrêmes comme le halfpipe ou le slopestyle ne soit pas commenté en français, langue de l’Olympisme. Nous prenons donc au mot Patrick Montel et le prions, ainsi que ses collègues de  » la famille des a été », de quitter leur petite lucarne et de laisser les journalistes 2.0 prendre le relais. Le passage de témoin, ça te dit quelque chose Patrick?