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Un monde idéal où c’est la fin

Publié le 17 février 2014 par Adtraviata

Un monde idéal où c’est la fin

Présentation de l’éditeur (auteur) :

Bienvenue dans un monde idéal ! 

Un monde idéal où la civilisation telle que nous la connaissons n’existe plus. Dérèglement du temps ? Avènement de la magie ? Crise climatique irréversible ? Épidémie mondiale de mort subite ? Extra-terrestres maladroits ? Invasion de poireaux découpeurs de cervelles ? Crise de déprime globale ? Robots hors de contrôle ? Zombies entreprenants ?

Découvrez 100 histoires drôles, émouvantes, tragiques ou absurdes qui mènent à notre perte ! 

Mais c’est quoi Un monde idéal ? C’est une collection de livres reposant sur un concept tout simple qui a fait le succès du site Internet http://www.jheska.fr : des textes courts et percutants relatant des histoires basées sur des « et si » ?

Un livre parfait pour un petit moment de détente égoïste, dans le bus, à la pause déjeuner, le soir avant de se coucher ou à la plage ! 

Quand la chargée de comm des éditions Seconde Chance (créées par l’auteur lui-même pour éditer ses propres romans) m’a proposé de recevoir ce livre voyageur (selon un système bien huilé, il faut le reconnaître) je n’ai pas hésité parce que j’avais déjà lu des billets attrayants sur J. Heska sur des blogs et que c’était l’occasion, me semblait-il, d’une lecture à la fois légère et faisant réfléchir. J’ai relu le mail qui présentait bien ce Monde idéal où c’est la fin comme un roman.

Quelle ne fut pas ma déception quand je me suis rendu compte que ce n’était en fait que des nouvelles, et des nouvelles très courtes. Non que je n’aime pas ce genre, au contraire je l’apprivoise et ce mois de la nouvelle me permet d’en lire un peu, à mon rythme. Mais là… je n’ai pas apprécié ces textes, j’ai essayé d’en lire plusieurs mais j’ai abandonné : trop répétitifs, ils placent les personnages dans des situations extrêmes, tantôt loufoques, tantôt déjantées, flirtent avec la science-fiction, les zombies, des sectes futuristes, des monstres… Tout se termine toujours par le leitmotiv "Dans un monde idéal…" et… je me suis lassée, incapable de m’accrocher, de m’attacher à des personnages et des situations trop rapides. Désormais, c’est sûr et certain : le trop déjanté en littérature n’est pas fait pour moi. J’en suis désolée !

Merci malgré tout à l’auteur pour ce livre voyageur !

J. HESKA, Un monde idéal où c’est la fin, Editions Seconde Chance, 2013

Deuxième lecture pour le mois de la nouvelle  chez Flo.


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