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Goal 2: La Consécration

Publié le 07 mars 2014 par Olivier Walmacq

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genre: sport
Année: 2006
durée: 1h50

l'histoire: Grâce à un don exceptionnel pour le football, Santiago Munez est passé des bas quartiers de Los Angeles au club mythique de Newcastle United. 18 mois plus tard, alors qu'il est fiancé à Roz, son rêve de devenir une des plus grandes stars du football se réalise : il est transféré au Real Madrid. Il se retrouve dans l'équipe de Beckham, Zidane et Raul, et joue à leurs côtés. Le jeune homme découvre la gloire et l'argent, mais tout cela menace son équilibre et son bonheur personnel. 

La critique d'Alice In Oliver:

Football et cinéma ont rarement fait bon ménage. A la base, le premier Goal n'avait déjà rien d'extraordinaire. Curieux que les producteurs se soient lancés dans une suite, donc Goal 2: la consécration, et même dans une trilogie.
Toujours est-il que cette saga est plutôt logique puisqu'elle consiste à suivre le parcours sportif de Santiago Munez, destiné à marquer l'histoire du football international. Comme je l'ai déjà souligné, le premier volet n'avait rien de sensationnel.

Inutile alors de préciser que l'on n'attendait pas grand chose de cette suite, réalisée par Jaume Collet-Serra. Ce nouvel épisode commence là où s'était arrêté son prédécesseur. Attention, SPOILERS ! Grâce à un don exceptionnel pour le football, Santiago Munez est passé des bas quartiers de Los Angeles au club mythique de Newcastle United. 
18 mois plus tard, alors qu'il est fiancé à Roz, son rêve de devenir une des plus grandes stars du football se réalise : il est transféré au Real Madrid.

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Il se retrouve dans l'équipe de Beckham, Zidane et Raul, et joue à leurs côtés. Le jeune homme découvre la gloire et l'argent, mais tout cela menace son équilibre et son bonheur personnel. Munez doit faire face à ses propres démons: il doit à la fois gérer sa nouvelle célébrité, le fait de jouer avec les plus grandes stars du ballon rond et faire face à des histoires familiales.
En résumé, rien de bien passionnant dans ce second opus, qui fait office de véritable navet en puissance.

Certes, les séquences footballistiques sont plutôt réalistes. En résumé, on s'y croirait. Hélas, c'est surtout le scénario qui fait vraiment défaut. En gros, on se fout royalement des aventures et des péripéties de Santiago Munez. D'ailleurs, les événements sont (plus ou moins) chronologiquement les suivants: alors qu'il est remplaçant de luxe, Munez rêve d'être titulaire au Real de Madrid.
Munez obtient satisfaction mais écope d'un carton rouge après quelques minutes de jeu. Munez fait de la pub et commence à connaître la gloire et la célébrité.

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Pour faire court, notre jeune héros connaît enfin les problèmes des footballeurs milliardaires, qui doivent affronter un quotidien pour le moins pénible: du fric, des pubs, leurs photos dans les journeaux et les commentaires parfois négatifs de la presse.
On croit rêver tant le film est écoeurant dans son propos: on voudrait presque nous faire pleurer sur le sort de notre jeune footballeur. A cela, il faut aussi ajouter quelques peines de coeur et quelques déceptions. Hélas, malgré tous les efforts des scénaristes, le scénario de Goal 2 ne parvient jamais à retenir l'attention. Que dire de plus ?

Note: 03/20
Note naveteuse: 15.5/20


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