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Florida part 1 : Miami & Everglades

Publié le 19 mars 2014 par Cecile Berthelon @walinette

Rassurés par le séjour guadeloupéen de l’an dernier, on est donc repartis cette année avec notre loupiot sous le bras. Le vol long-courrier ? Même pas peur, il est briefé, pas un seul “maman, c’est quand qu’on arrive ?”. Merci les films, dessins animés et cie. D’ailleurs en passant, si vous emmenez votre progéniture (jeune), c’est pas mal de prévoir un casque audio adapté aux petits pour l’avion : on peut le brancher de suite sans attendre la distribution et il tient mieux.
Par contre à l’arrivée, ces petits machins c’est très rapidement out of order, autrement dit un bon poids mort à trimballer en plus des valises. Du coup :

=> Debrief Miami :

Donc on avait prévu le cas du bonhomme effondré impossible à réveiller dès 18h. Et on a pris un studio à Miami Beach via AirBnB (c’est celui de Jackie, je vous mets le lien, il est bien pour une famille 2 adultes 1 enfant), résidence au bord de la plage, piscine et vue imprenable sur la mer. Par contre, c’est au nord du quartier Art Deco, il y a un voiturier pour le garage souterrain, mais comme c’est galère pour se garer on peut prendre le bus ou un taxi (compter 11$ pour Lincoln Road).

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(robe Susanna Monaco, marinière Boden, gilet Helmut by Helmut Lang, sac Jojo Jérôme Dreyfuss, Birkenstock Sydney, Collier Pamela Love)

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Glop : On a pu prendre un bon déjeuner chez Jerry, le petit a découvert et adore les pancakes, on a fait une balade sur Ocean Drive pour admirer les façades et j’ai même pu passer chez Madewell sur Lincoln Road.

Pas Glop : décalage horaire, marche (il y a des vélibs à Miami, ça doit être génial pour se déplacer, mais pas de siège enfant), ville : 2-3 heures c’était le maximum, on ne peut donc pas dire qu’on ait découvert Miami. Idem pour les sorties le soir, ce n’était pas possible. D’où une location confortable avec kitchenette, piscine et plage.
La visite de Miami a été réduite à la portion congrue, on le savait il fallait s’adapter. Dès le lendemain, nous sommes donc repartis.

=> Les Everglades :

A faire absolument avec les loupiots. On est passé par le nord car on rejoignait ensuite Naples, du coup on est entré dans le parc par Shark Alley. On a loué des vélos (avec siège enfant, c’est trop long pour un petit en pédalant) et on n’est pas déçu, des alligators par douzaines, tu croises.
Puis il faut absolument faire un tour de Air Boat, Bernard et Bianca assistés par Evinrude, vous voyez. Le tout dans la mangrove, et avec le coucou des raccoons. (on l’a fait à Everglades City, je crois qu’ils se valent à peu près tous)

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(chemise Madewell en lin achetée sur place, short Joe’s Jean => Mon short PREFERE)

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Glop : on voit (vraiment) beaucoup d’animaux, et très proches… si si. Le tour en bateau est incontournable, et si en plus on peut porter un alligator, carton plein pour les enfants !! (je crois que c’est son souvenir le plus marquant)

Pas Glop : le tour entier de 25 bornes en vélo est un peu monotone (voire long, mais on sent le RPM !) même si au bout on peut accéder à une tour d’observation qui est pas mal (on dirait l’Afrique, dixit le loupiot, effectivement, de là haut on voit un petit air de savane)

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L’anecdote : Donc, nous avons loué des vélos. Vous savez les machins qui pèsent 3 tonnes et freinent en rétropédalant. Et pour se faire, direction une cabiute où se tient le ranger/cowboy/biker typique américain d’un certain âge, queue de cheval incluse. On me demande un ID, je pioche au hasard un des 3 passeports dans ma besace : le mien. Et voilà qu’il me dit “oh you’re from Dijon”, oui, enfin j’y suis née, j’y ai ma famille, tout ça… “I have my daughter there, she lives in Gevrey-Chambertin” ah ben tu parles que je connais, c’est un peu MON village quoi. “Her name is Nathalie R-C”. Sans blague ? C’est une copine, on a juste passé 6 mois ensemble pendant une formation, elle habite à côté de chez ma grand-mère.
Nan mais je vous demande, la probabilité*  non seulement de le croiser mais en plus de réaliser que je connais sa fille ?

Il a voulu qu’on fasse une photo ensemble pour lui rapporter, je vais essayer d’y passer aujourd’hui, cela fera l’occasion de se revoir (on s’est perdue de vue pendant mes expats, j’avais un très vague souvenir d’un papa américain).

* ca vaut limite plus que le voisin d’enfance à Kourou ou le nez à nez avec le boss de mon mari en pleine place du Chateau à Prague un week end de pont (il fallait jouer des coudes, la probabilité qu’on tombe PILE dessus ?)


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